Je me fais défoncer par mon oncle (25)
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomflavie, Source: Xstory
... s’agenouilla près de mon visage et commença à branler son énorme queue qui n’avait pas encore débandé.
— J’en ai encore pour toi. Je vais éclabousser ton visage… Aaah, petite putain… continue de chier du foutre…
Il se branlait de plus en plus vite. Je ne croyais pas qu’il y arriverait, mais en peu de temps, de longs jets de foutre atterrirent sur mon visage et dans ma bouche, en surplus de tout ce qui sortait de mon cul, qui n’en finissait plus de se vider.
Il me fit sucer sa queue après l’avoir promenée partout sur mon visage complètement recouvert de semence.
Il se rendit ensuite vers mon cul toujours en l’air et écarta mes fesses de ses grandes mains pour faire ouvrir mon trou encore plus qu’il ne l’était. Il y enfonça sa langue, y récupéra le peu de foutre qu’il restait et s’empressa de le cracher sur mon visage.
Une fois l’opération terminée, il se releva et contempla son ouvrage.
— Te voilà couverte de foutre, sale pute. T’as vraiment l’air d’une salope. Espèce de dépravée.
Doucement, je redescendis mes jambes et je restai couchée sur le dos, complètement épuisée et à bout de souffle mais néanmoins, je commençai à caresser ma chatte. M. le curé me regarda en hochant la tête, incrédule. Et tout en reboutonnant sa soutane :
— Putain de chienne… Rentre chez-toi, salope. On se voit demain, à l’église, pour les funérailles.
Et il quitta sans demander son reste.
Je restai là à me caresser pendant quelques minutes. Je massai mes nichons souillés ...
... de sperme et je jouis encore une fois en repensant à ce qui venait de se passer. Après coup, je restai étendue pendant encore quelques instants.
Je me relevai tant bien que mal, me rendit au cercueil de mon mari qui avait été témoin, sans le vouloir, de la descente aux enfers de sa salope de femme puis, de ma main mouillée de cyprine, je caressai les mains de Pierre.
— Pardonne-moi, mon amour…
Je n’avais plus de sentiments. Tout ce qui m’importait dorénavant, c’était de me vautrer dans le vice, d’être la plus dépravée possible.
J’étais seule et complètement nue dans ce salon funéraire. Ma robe noire, réduite en chiffon, traînait non loin par terre. Je rangeai le désordre pour que rien ne paraisse de ce qui venait de se passer ici.
Je vis sur une patère, un pardessus oublié par un visiteur. Je m’en couvris en rentrai chez-moi où je pris un long bain chaud. Je me rendis ensuite, tant bien que mal dans mon lit où je m’endormis dès que ma tête toucha l’oreiller.
Les funérailles ont été célébrées le lendemain comme prévu et je dis un dernier au revoir à mon jeune mari.
Je revis M. le curé, mais sans lui adresser la parole. Il me jeta un regard sévère qui m’inquiéta un peu.
Peu de temps après cette baise impromptue, je me rendis compte que j’étais enceinte. Un peu décontenancée, je contactai M. le curé pour lui annoncer la nouvelle. J’avais peur de sa réaction. Il m’invita à le rencontrer au presbytère et nous avons discuté dans ce même salon où nous nous ...