Je me fais défoncer par mon oncle (25) - Histoires de Sexe

Je me fais défoncer par mon oncle (25)

M’enculer comme ça ne m’es encore jamais arrivé? Pour quelqu’un qui défonçait une pute pour la première fois, il prenait de l’assurance le cureton!

Toujours agenouillée devant lui et branlant son énorme bite couverte de foutre, je bavais littéralement à l’idée de me faire agrandir le trou du cul par cette queue majestueuse. Maintenant que « l’épreuve » de la chatte était passée, me faire éclater le fion par le « monstre » ne m’inquiétais pas le moins du monde.

En effet, mon frère me fistait le cul assez régulièrement et presque quotidiennement, je me défonçais le trou de balle avec divers objets toujours de plus en plus gros, allant de la batte de baseball à la courgette en passant par la bouteille de champagne. J’adorais la jouissance par le cul.

M. le curé me prit par les cheveux et sans délicatesse, me fit mettre à quatre pattes devant lui. Il s’agenouilla de façon à pouvoir parler près de mon visage. Il respirait bruyamment et il était excité au plus haut point.

— Tu n’as pas fini de nettoyer tes saloperies.

Et il colla ma bouche sur les éclaboussures de foutre qui se trouvaient sur le prie-Dieu. Je commençai à lécher en branlant mon cul pour échauffer encore plus l’esprit du bougre qui allait me défoncer le trou à merde.

Je léchai avec appétit tout en gémissant pendant qu’il releva ma robe pour ainsi exposer à ses yeux mes deux belles rondeurs qu’il se mit à claquer comme un enragé. Une bonne vingtaine de puissantes claques vinrent s’abattre sur mon cul ...

... encore chaud de la précédente fessée.

— Petite putain… sale petite chienne… salope de dépravée…

Ce putain de curé devenait de plus en plus vulgaire et pervers et j’adorais ça! Me faire traiter de pute et de salope pendant que j’étais excitée m’échauffait les sens et cette seconde fessée m’échauffait encore plus le cul!

Il s’agenouilla derrière moi tout en continuant de claquer mes fesses qui devaient être bien rouges maintenant.

— Écarte tes fesses et continue de lécher du foutre…

Je m’exécutai et je l’entendis grogner.

— Ouvre bien le trou… ouvre bien ce putain de trou par où tu chie…

Avec mes doigts que je portai de chaque côté de mon trou à merde, je l’étirai pour l’ouvrir le plus possible.

— Oh oui… c’est bien… quel beau trou… putain ce que je vais te le défoncer!

Il se pencha et cracha sur cet orifice qui attendait impatiemment de se faire limer. Puis, il fit glisser toute la longueur de sa bite entre mes fesses à deux ou trois reprises. Il me prit ensuite fermement par les hanches et sans crier gare, enfila violemment sa grosse queue dans mou trou béant.

La poussée fut si forte que je me cognai la tête contre le prie-Dieu, ce qui me fit pousser un cri de surprise plus que de douleur.

— Tu es prête salope?

— Nom de Dieu, mon père, cessez de me demander si je suis prête! Je suis née pour être défoncée! Allez-y, putain de merde!

J’étais maintenant plus excitée que je ne l’avais jamais été dans ma chienne de vie, et après un très bref ...