Je me fais défoncer par mon oncle (25) - Histoires de Sexe

Je me fais défoncer par mon oncle (25)

... moment d’accalmie, ma chatte se remit à couler.

Il se mit à pistonner mon cul d’un mouvement brusque mais régulier. Il appuya sa grosse main sur ma tête et la poussa de côté contre le sol souillé de foutre et de cyprine, ce qui porta mon petit cul un peu plus haut.

Et il se déchaîna…

Il défonçait, (le mot est faible) mon cul de toute ses forces, ou plutôt, il le massacrait, l’écartelait, il l’éclatait littéralement. Des cris sortaient de ma gorge malgré moi. Des cris de douleur mêlés à des cris de jouissance que me procurait cet acte violent à la limite de la barbarie.

— Dis-moi, petite pute, ne t’avais-je pas dit que tu serais enculée comme jamais ça ne t’étais arrivé? Tu me crois maintenant?

— Aaaah… aaahhh!!

— Tu cries, salope! Tu cris comme une truie, sale pute! Je paris que tu vas jouir, petite chienne…

— Aaaah mon père… aaaahhhh… Nom de Dieu… putain… je viens!!!

Et je laissai partir un bon jet de cyprine.

Pendant pas moins de quinze minutes, il m’éclata le fion sans jamais ralentir la cadence de ses coups de queue d’une violence inouïe. Sa peau claquait sur mes fesses; clac, clac, clac, clac, tel un métronome réglé à presque deux coups par seconde. Ma voix n’était qu’une longue lamentation de jouissance.

— Aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh…

À chaque quinze ou vingt coup de bite, je jouissais. J’avais orgasme sur orgasme. Je n’en pouvais plus de jouir. Mes jambes tremblaient et j’étais épuisée, mais il continuait de complètement détruire mon ...

... trou à merde.

Et comme je sentis que j’allais perdre connaissance, il poussa sa queue violemment bien au fond de mon rectum une dernière fois et dans un mélange de cris et de grognements, il se mit à vider ses grosses couilles de plusieurs jets de foutre bien chaud qui me remplirent en un rien de temps, pendant que j’avais un très puissant orgasme.

— Putain de chienne, je remplis ton cul de salope…

— Aaaaaaaaaahhh… Merde… nom de Dieu…

Une fois qu’il eut fini de se vider en moi, il retira son pieu de mon trou échancré. Je jetai un coup d’œil par-dessus mon épaule et je le vit, en sueur des pieds à la tête.

— Garde tout le foutre dans ton cul, n’en perd pas une goutte.

Je serrai les fesses pour ne rien perdre. Puis, il arracha ma robe en la déchirant, me claqua le cul à quelques reprises et, sans ménagement, me fit étendre sur le dos et ramena mes pieds de chaque côté de ma tête de sorte que mon trou du cul se trouvait au-dessus de mon visage.

— Maintenant, ouvre bien ta bouche et vidange ton cul de tout ce foutre et avale tout, salope.

Je pouvais voir mon anus, complètement ouvert et tout rouge et apparemment, il n’y vait pas de déchirure. Je commençai à pousser comme si je chiais et mon rectum plein à ras-bord de foutre, commença à se vider de sa cargaison. Un ruisseau de sperme se fraya un chemin à l’extérieur de mon cul, coula sur ma chatte et aboutit dans ma bouche grande ouverte.

— Il est bon mon foutre, petite chienne?

— Mmmmmhhh…

Il ...