Histoires de cocus (extra)ordinaires (8)
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... toutes ces queues dressées que je voyais. Il m’arrivait quotidiennement de fantasmer sur l’un des amants de mon mari, tous choisis avec soin, et de désirer être prise, même par Vidane que je détestais pourtant, mais dont le corps était sublime, il faut bien en convenir.
Un samedi soir, peu avant mon départ définitif, bien que je rentrasse très tard pour éviter qu’on m’impose une scène de cul qui n’aurait fait qu’attiser mon désir, je trouvai la maison occupée par les partouzeurs du week-end. Pour être sûrs que je ne pourrais pas échapper à leur perversion, ils s’ étaient purement et simplement installés dans le couloir.
Au sol, un soldat en levrette se faisait monter par le sergent-chef Vidane. Pendant qu’il encaissait les formidables coups de bite, (je dois bien en convenir), le pauvre troufion qui méritait la première syllabe de ce substantif tout autant que la seconde en renvoyant d’ailleurs l’intégralité du mot à son fondement, suçait mon ex avec application. Mon regard ne pouvait faire que de plonger sur la croupe magnifique du sous-of, sur ses cuisses solides arc-boutées au-dessus du fessier de la recrue et aux couilles qui se balançaient follement.
Dos au mur, entièrement nus, trois autres conscrits, se tenaient au garde-à-vous, deux d’entre eux, bandant avec toute la puissance d’étalons en rut.
Ainsi obstrué, le passage m’était interdit.
Toutefois, je fus surprise de voir un jeune garçon qui ne bandait pas rougir jusqu’aux oreilles.
C’était le ...
... plus petit des trois. Il avait ce physique trapu des paysans bretons dans la peinture du XIXe siècle. Ses traits étaient épais, le nez fort, les lèvres grosses, l’arcade sourcilière marquée, le poil très noir qui donnait à son crâne rasé et son menton, où déjà la barbe repoussait, une marque sombre. Son torse était velu, mais les tétons roses saillaient. Le pubis était touffu, très brun.
Un zob lourd et mou pendait, le prépuce épais recouvrant un gland dont on devinait toute la forme.
Dès qu’il m’aperçut, il croisa ses mains sur son sexe, mais fut rappelé à l’ordre par un "garde-à-vous" tonitruant de mon mari. Il remit ses bras le long de son corps, regardant le mur droit devant lui, humilié sans doute d’être nu devant une inconnue.
Le pauvre garçon faisait pitié. Il avait l’air jeune et rougissait de honte.
Mon mari se moqua de lui et le sergent en fit autant en se retournant vers moi.
— Alors ? On se masturbe sous les douches avec son petit camarade, on fait sa chochotte pour sucer la bite qu’on mâtait en se branlant ; on prétend qu’on n’est pas une fiotte et on fait le timide devant la dame.
— J’vous jure mon capitaine, c’était juste un concours de bites avec le sold...
— Ta gueule larve. On n’a pas fini avec toi. Après ta bouche, on va s’occuper de tes fesses. Elle est bonne ta bouche, tu sais bien pomper... tu vas bien encaisser la queue dans ton fion...
— S’il vous plaît mon capitaine, j’ai jamais fait...
— Ta gueule on te dit !
La colère me ...