1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (8)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... avait servi de cible à un concours. On n’avait pas tout mangé, mais les fines galettes étaient couvertes de sperme. Moi qui n’avais jamais goûté celui de mon mari, du moins autrement que le mince filet qui s’en échappait avant son éjaculation, j’eus la tentation... et j’en léchai un. Je ne trouvai pas cela bon, mais pourtant, je continuai et finalement les mangeai tous... tout en fouillant ma chatte avec mes doigts... sexe par procuration. Si je restais là encore longtemps, sûrement, je deviendrais folle !
    
    Plus mon départ s’approchait, plus le sergent et mon mari gagnaient en perversité. Mais je n’y faisais même plus attention et cela les rendait dingues, je crois. Ils ne savaient plus qu’inventer et je crois, ils prenaient plus de plaisir à baiser en ma présence qu’en mon absence.
    
    On peut légitimement se demander comment j’en étais venue à supporter tout cela. Au départ, j’étais profondément choquée d’avoir été trompée. J’aurais dû partir dès la première fois. Pourquoi ne l’avais-je pas fait ? Par amour ?
    
    Il me fallut du temps pour réaliser. En fait, j’avais épousé un jeune et très bel officier, à la carrière pleine d’avenir. Je croyais l’aimer en reproduisant ce que l’on faisait dans ma famille ; les filles d’officiers épousaient des officiers. J’avais su gré à celui-ci de me permettre de poursuivre mes études et de les terminer, croyant qu’il respectait ainsi ma liberté. En fait, il n’en avait rien à foutre. J’étais pour lui un alibi, un certificat de ...
    ... respectabilité qui lui permettait de se livrer à ses penchants homosexuels sans laisser place au doute. Personne ne soupçonnait alors un homme marié d’être gay comme on dit aujourd’hui... et pourtant combien de garçons de cette génération ont dû se marier incapables de faire leur coming-out ?
    
    Probablement, de mon côté, ne l’avais-je pas aimé ? Il était beau oui, brillant oui, rassurant... L’image du mari et du gendre idéal en vogue dans mon milieu. Mon amour propre était touché, bien sûr, mais plus par le fait d’avoir été couillonnée sur la marchandise. De plus, je lui en voulais de m’avoir empêchée de vivre une vie normale avec un autre homme.
    
    Du reste, il ne me fallait pas tout regretter et d’abord, sa bite.
    
    Car j’avais aimé sa bite. Grosse, lourde, dure. J’en appréciais la rigidité et la douceur du gland et son goût incomparable. Cela avait été ma première queue, et la seule à ce jour, et si je n’avais pas laissé libre cours à toutes les envies de mon mari (me sodomiser, boire son jus), je me dis que j’avais peut-être raté des occasions.
    
    Il me fallait reconnaître que ce qui me faisait supporter les coucheries auxquelles j’assistais, c’est le plaisir de voir des bites, cette curiosité chaque jour plus intense pour le sexe de l’homme. Mon mari me délaissait, notre dernier rapport n’avait rien produit en moi et je voulais une bite, de plus en plus, jusqu’à l’obsession. Je voulais reconnaître le plaisir avec un homme. Je me caressai souvent désormais sans honte, en rêvant à ...
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