Histoires de cocus (extra)ordinaires (8)
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Mon futur ex-mari avait pris soin de planquer toutes les clefs, sauf celles de ma chambre. Ainsi, quand j’étais sous la douche, il en profitait pour s’immiscer dans la salle de bain et enfilait une recrue penchée sur le lavabo. J’étais obligée de me sécher et de les bousculer carrément pour sortir. Puis ils en vinrent à piquer mes vêtements et les serviettes pour que je sois obligée de paraître nue. Moi qui ne m’étais montrée ainsi qu’à mon mari et mon médecin ! Quelle honte ! Mais à chaque fois, je fis comme si je n’étais pas affectée... d’ailleurs, à quoi cela servait-il puisque leurs soumis semblaient peu intéressés par ma plastique ne me jetant qu’un regard étonné comme si la présence d’une femme en ce lieu était incongrue... alors, ils trouvaient autre chose. Et montaient encore d’un cran, toujours dans l’exhibitionnisme.
Quant à Vidane, il affectait de se promener à poil, surtout après leurs ébats, la queue encore tout humide et les poils pubiens couverts de sperme. Il exhibait mon cocufiage et son corps d’athlète dans un sadisme et une vengeance obscènes. Il avait l’ascendant et même s’il respectait pour la forme les écarts de rang, c’était bel et bien lui le mâle dominant. Il se faisait un malin plaisir quand il sodomisait mon mari, de me le faire savoir bruyamment si la vision ne m’en était pas imposée...
Une à deux fois par semaine, mon mari, privé de son amant, ramenait une recrue pour la nuit. Les ébats étaient plus discrets, comme s’il était gêné, en ...
... l’absence de son "mec" de se montrer devant moi. Il n’était pas rare que je revisse ensuite le lauréat avec son grade de caporal.
J’évitais les "retrouvailles" du vendredi soir pour rester le moins possible en leur présence... l’humiliation ne comptait plus. J’étais habituée, mais je me dissimulais mal l’intérêt que je portais à ces garçons bien membrés qui me rappelaient désormais plus ma solitude et mon envie d’amour que mon infortune. Eux, ils avaient du plaisir ! Eux, on les aimait... tandis que moi, j’étais bien seule.
Quand je rentrai vers une heure du matin, ça sentait l’homme et le sexe dans toute la maison, car bien sûr, ils évitaient de trop se laver et les effluves de mâles, de sperme, de sueur et de rut envahissaient les pièces. Parfois, ils n’étaient pas couchés et s’occupaient d’un ou deux jeunes soldats. Dans le silence de ma chambre, encore troublée par les derniers râles de l’orgasme d’un soldat, je me faisais jouir de la main en désirant qu’une queue vînt faire son office là où mes doigts ne pouvaient m’apporter qu’une maigre consolation face à l’appétit charnel qui me consumait. Chaque jour davantage.
J’eus, une nuit, en me levant, l’idée d’aller sucer le sexe d’un garçon qu’on avait laissé dormir sur le canapé du salon... je me mis à genoux, contemplai la bite au repos, humai l’odeur du sexe... et passai.
Dans la cuisine, ils avaient laissé un désordre indescriptible. Une assiette, où gisaient encore quelques biscuits d’une célèbre marque chocolatée ...