1. L'abri


    Datte: 01/02/2019, Catégories: fh, inconnu, forêt, pénétratio, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... parvinrent plus à limiter l’ampleur de leurs mouvements, la hanche nue de la femme commença à venir rythmiquement au contact de sa propre cuisse. Laure fut terriblement troublée par ce contact. Elle tenta de se reculer, mais fut arrêtée par la sensation très ferme d’une autre anatomie – elle n’eut soudain plus aucun doute sur le fait que son compagnon était également réveillé, et partageait son trouble.
    
    Lorsque le couple en eut fini après un dernier soupir, il y eut quelques chuchotements indistincts, des reptations délicates pendant qu’ils se rajustaient.
    
    Le silence revenu, Laure ne parvint plus à dormir. Elle pensa qu’elle allait rester réveillée jusqu’au matin, et en voulut au couple de l’avoir mise dans cet état… et aussi à son propre mari, qui n’était pas là.
    
    A tous petits gestes, Laure défit un bouton, puis deux, puis glissa une main sous son pantalon.
    
    Elle commença à se caresser, sans faire de bruit. Par chance la femme était restée étroitement serrée contre son mari, et lui laissait un peu de place.
    
    Au bout d’un moment elle devint consciente que sa propre respiration n’était plus aussi silencieuse qu’elle l’aurait souhaitée. Elle réalisa aussi que le contact de l’homme, derrière elle, avait repris la fermeté qu’il avait eue en entendant le couple. Elle en fut troublée, mais elle n’allait pas s’arrêter si près du plaisir. L’homme avait montré qu’il savait être discret, il se rendormirait après.
    
    Puis elle se figea… Une main venait de se poser sur sa ...
    ... cuisse.
    
    La main glissa, une lente caresse qui lui fit se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle remonta jusqu’à sa taille, s’inséra sous les vêtements, glissant sur son ventre vers sa poitrine, vint toucher ses seins, dégagea les globes du soutien-gorge.
    
    La main était épaisse, les doigts calleux, un contact bien différent de celui auquel Laure était habituée, et d’autant plus troublant.
    
    Les tétons érigés sous la pression, Laure était figée, une partie d’elle-même se demandant pourquoi elle ne réagissait pas – alors qu’en même temps une autre partie le savait parfaitement.
    
    La main redescendit, glissa sur la sienne maintenant immobilisée sur son sexe, repoussa l’étoffe du pantalon pour caresser la hanche.
    
    Une autre main se glissa sous la taille de Laure, insista, se força un passage.
    
    La main poussa vers le haut. Laure fut surprise de sa force, comme si elle-même ne pesait rien. Instinctivement, elle souleva sa hanche, obéissant à la pression.
    
    L’autre main remonta vers sa ceinture, et commença à repousser le pantalon déjà détaché et le slip vers le bas. Laure resta passive, pensa qu’il ne parviendrait pas à ses fins, tant les vêtements étaient serrés sur ses hanches, et la position peu favorable. À sa surprise, il y parvint cependant, forçant à la limite de la résistance du tissu, lui arrachant une grimace de douleur tant la friction sur sa peau était forte.
    
    Le pantalon à mi-cuisse, elle eut soudain conscience de sa peau nue, offerte. Son cœur battait à ...
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