Fukutanari
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
Sci-Fi & Fantaisie,
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... pailletés qui moulaient parfaitement leurs fesses et arrondissaient leurs cuisses grassouillettes. Au vu de quelques billets qu'elles agitaient, la fille sur scène s'est approchée pour balancer son sexe devant leurs visages. Elles ont ouvert leurs chemisiers, la fille s'est branlé d'importance et leur a envoyé son foutre sur les seins qu'elles se sont massés avec soin.
Un respectable japonais grisonnant, vêtu d'un kimono, est entré sur scène. C'était un « maître de shibari », c'est-à-dire de ligotage esthétique. C'est très artistement qu'il a ligoté de cordes rouges et noires une « F-Gal » dont le visage affichait la soumission, et par instants, la souffrance. Les cordes impeccablement nouées faisaient bourreler ses chairs et ressortir ses seins ; elles liaient derrière son dos les poignets et les chevilles, et maintenaient ses cuisses largement ouvertes et repliées. La souffrance est surtout venue lorsqu'il lui a ligoté le sexe et y a planté une vingtaine d'aiguilles d'acupuncture, tout cela, avec une extrême gravité et au son d'un « sakuhachi » (flûte de bambou traditionnelle). Deux assistantes en kimono sont entrées en scène, et en tirant certains brins libres pour resserrer les liens autour du sexe, elles ont provoqué une belle éjaculation et les applaudissements des spectateurs. J'aurais aimé dire bonsoir à Yukiko, mais je ne l'ai pas vue ressortir de la « backroom » où elle avait introduit ses clients.
La nuit suivante, horrible cauchemar. Dans une classe de ...
... lycée, je suis le seul garçon face à une prof et à une vingtaine de japonaises bruyantes. Je suis au tableau, la prof m'interroge sur un roi dont j'ai oublié le nom et sur les batailles qu'il a livrées. Je ne sais rien. Je suis en short de sport. Je sens mon sexe grandir, démesurément, comme le nez de Pinocchio, et sortir du short le long d'une de mes cuisses. Le gland émerge, rouge et baveux. Je ne bande pas, mais mon sexe épais comme celui des « F-Ggals » me descend jusqu'à mi-cuisse. Les filles rient aux larmes. Je ne peux me retenir de pisser ; ça coule dans ma chaussure et sur le sol. Nouveaux éclats de rire. Je me retrouve ensuite sur un lit d'hôpital. La prof d'histoire est maintenant une infirmière. Les lycéennes m'entourent, munies de couteaux de cuisine, et tripotent mon énorme sexe. « Allez-y » leur dit l'infirmière. « Coupez tout. Il n'en aura plus besoin. » Fuir avec Yukiko. Je la cherche dans une gare au milieu de la foule. J'ai perdu mon billet et je ne comprends rien aux inscriptions des tableaux d'affichage. Je cours, mes jambes pèsent des kilos.
Je suis sorti de ce cauchemar trempé de sueur, et je n'ai pas pu me rendormir. J'ai décidé de tout faire pour revoir Yukiko, pour suçoter à nouveau les tétons brun sombres qui ornent ses beaux seins et pour la consoler de son « infirmité ». Le sol a tremblé. Un minuscule tremblement de terre dont la presse ne parlera même pas.
[Le carnet devient ensuite beaucoup plus fragmentaire et imprécis.]
Retrouvé Y. au bar ...