Fukutanari
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
Sci-Fi & Fantaisie,
Auteur: byValcour, Source: Literotica
Je publie quelques pages du carnet d'un routard que j'ai trouvé, oublié dans un train. Rien ne me permet d'identifier son propriétaire. S'il se reconnait, qu'il m'écrive (il authentifiera son courrier en précisant quelques unes des autres villes mentionnées). Ce carnet contient d'autres épisodes croustillants que je publierai peut-être.
Alain Valcour
Tokyo, Septembre 2011
Je suis entré dans l'un de ces bars minuscules situés dans les étages d'immeubles parés d'enseignes aussi nombreuses qu'incompréhensibles pour qui, comme moi, ne connait pas le japonais. Mais on m'avait indiqué le code : un petit cœur rose, très discret, accolé au nom du bar sur le tableau de l'interphone indiquait un établissement où des filles peu farouches boivent et « bavardent » avec les « gaijins » (les occidentaux) dans un anglais minimal.
Accueilli par un chœur de joyeux « irasshaimasei » (prononcer « irasse-chaï-ma-seï » ce qui veut dire « bienvenue chez nous »), je me suis assis à une table où deux lolitas avec des couettes de collégiennes m'invitaient de leurs grands sourires juvéniles et aguicheurs. J'ai été surtout attiré par leurs poitrines bien formées. Des décolletés généreux découvraient la naissance de jolis seins moelleux. La conversation n'a pas été particulièrement riche. Une seule des deux, Keiko, connaissait quelques mots d'anglais touristique. Toutes les deux riaient beaucoup, une main devant la bouche. Les bières et les pistaches sont arrivées. Nous avons commencé à nous ...
... baisoter, langue à langue. Elles aussi s'embrassaient et se caressaient voluptueusement, ce qui m'excitait pas mal. Caresser un sein découvert, lécher ou pincer un téton, pétrir une cuisse et susciter des gémissements de plaisir, cela se faisait à chaque table. Keiko était en minijupe. Je lui ai retiré son slip et je l'ai posé sur la table entre les pistaches, les verres et les serviettes en papier. Je lui ai branlé le clitoris, elle a « joui » bruyamment presque tout de suite. Bien sûr elle faisait semblant. Je l'ai embrassée goulûment, comme pour étouffer ses petits cris d'oiseau affolé. Sa copine Yukiko nous regardait avec envie. Me plaçant commodément à côté d'elle, j'ai commencé à honorer de la même façon ses seins, ses tétons et ses lèvres. Je posais des baisers mouillés sur tout ce qui m'était accessible, ses oreilles, son cou, ses paupières, ses épaules, ses bras. Je me régalais de son parfum floral et de ses baisers délicats. Yukiko était en « hakama », un ample pantalon de tradition japonaise. En palpant ses cuisses à travers le tissu, j'ai eu la surprise de rencontrer comme un bâton. C'était un sexe qui bandait, très long et bien raide. Keiko et Yukiko qui s'attendaient à ma surprise ont éclaté de rire. « Come. Backroom. »
Elles m'ont entraîné dans une vaste pièce dont l'entrée était masquée derrière un rideau. La lumière était plus que tamisée. Sur des canapés à l'occidentale disposés tout autour, des couples nus s'affairaient. Keiko a baissé le pantalon de sa ...