1. Fukutanari


    Datte: 01/02/2019, Catégories: Sci-Fi & Fantaisie, Auteur: byValcour, Source: Literotica

    ... copine et j'ai vu émerger un énorme sexe, épais comme son poignet d'adolescente et long comme les trois quarts de sa cuisse. A sa base, un large triangle de fourrure noire lui couvrait tout le bas-ventre. Le gland rose, complètement découvert, luisait dans la pénombre.
    
    - Yukiko, Fukushima. Heiseï twenty-three. Year two . . . thousand ... eleven.
    
    Des radiations seraient à l'origine de son pénis monstrueux? Keiko m'a montré que Yukiko avait aussi un minuscule vagin, hermétiquement clos et impossible à pénétrer sauf au bistouri, et même deux (gros) testicules. Elle aimait bien que l'on s'occupe de l'œillet brun de son délicieux petit cul. Keiko y a mis la langue avec enthousiasme. Elle a enfoui son visage entre deux fesses toutes rondes et je n'en voyais plus que les couettes noires s'agiter. Yukiko riait sans discrétion. Keiko s'est mise à masturber son énorme sexe pour le raidir encore un peu plus et tenter de le faire se redresser, mais il était trop lourd. Keiko m'a invité à l'aider. Nous l'avons tous les deux mordillé et léché. Le gland était trop gros pour la jolie petite bouche de Keiko. C'est moi qui l'ai enfourné, mais ma langue avait du mal à le caresser. Keiko masturbait la hampe et massait vigoureusement la prostate. Une énorme quantité de sperme m'a giclé dans la bouche et a failli m'étouffer. J'en ai bien avalé la valeur de deux tasses et ça giclait encore dans la figure de Keiko. Quelques minutes après, Yukiko bandait de nouveau, prête pour le client ...
    ... suivant. Elle s'est rhabillée, nous nous sommes longuement embrassés tous les trois. Je leur ai glissé quelques billets et Keiko m'a donné la carte de visite du « Fukutanari Club » à Shinjuku. « Tomorrow, Yukiko, Fukutanari Kulubu. You come.».
    
    Le lendemain soir, j'ai été à ce club, installé discrètement dans un sous-sol. Un bar, des sièges autour de plusieurs scènes où dansaient des « Fukutanari» ou « F-Gals ». Ce sont de merveilleuses adolescentes aux seins nus, en bas de soie blanche ou de résille noire et vêtues, si l'on peut dire, de micro-jupes de tissu écossais (destiné à évoquer un uniforme scolaire), d'où émergeaient d'énormes pénis aussi gros que celui de Yukiko. Elles les balançaient au rythme de la musique, une musique gélatineuse comme d'habitude dans ce genre de lieu. Elles caressaient leurs glands turgescents. Leurs seins charnus valsaient, propulsés de droite et de gauche par leurs déhanchements. Elles approchaient leurs fesses nues des visages des spectateurs, lesquels jetaient sur la scène quelques billets pour les remercier.
    
    Quand un spectateur faisait signe à une « F-gal », elle s'approchait pour se faire lécher le gland. S'il agitait un billet suffisamment important, elle se branlait vigoureusement jusqu'à lui gicler dans la figure. J'en ai vu un récupérer précieusement le foutre dans son verre pour le mélanger au whisky Suntory dont il avait une pleine bouteille à portée de main. Il a fait goûter le cocktail obtenu aux deux amis qui étaient avec lui, et ...
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