La sellette de Tannhäuser
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
f,
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fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... traits crispés par la souffrance, elle s’appuyait sur moi autant qu’elle le pouvait, comme pour m’empêcher de bouger. Mais en même temps, il me semblait qu’elle voulait à tout prix que je reste dans son fondement, le temps que la douleur se dissipe. De la façon dont elle venait de crier, elle avait vraiment dû le sentir passer…
J’étais prêt à la repousser doucement pour me dégager de son cul quand elle m’apostropha de la manière la plus inattendue qui soit.
— Bourre-moi, bourre-moi fort !
Elle avait beau dire, j’hésitai un instant avant de répondre favorablement à sa requête. Mais puisque c’était elle qui demandait, je repris, allant et venant doucement dans ses reins, ayant très peur de lui faire de nouveau extrêmement mal. Puis, comme il devenait évident que non seulement la douleur avait disparu, mais qu’en plus elle aussi aimait cela, j’accélérai le mouvement et, très vite, son souffle devint rauque, de plus en plus rapide, tandis qu’elle commençait à gémir doucement.
De toute évidence, si l’expérience avec Silvia n’avait pas été franchement concluante, il n’en était pas de même avec Claudia qui visiblement prenait un plaisir fou à se faire prendre de cette façon, et les cris qu’elle poussait de plus en plus fort ne laissaient planer aucun doute sur le sujet. Amusé plus encore qu’excité, je décidai alors de savoir jusqu’où tout cela nous conduirait. Aussi accélérai-je encore la cadence, les mains crochées dans ses hanches à lui en faire presque mal, le ...
... souffle court, la sueur coulant dans mes yeux, le sang battant à mes tempes. Entre deux gémissements, elle cria :
— Oh oui, encule-moi, encule-moi…
Non, sincèrement, heureusement qu’elle me le demandait, parce que là, j’avais franchement l’impression que j’étais en train de cueillir des fraises… Quelle que soit l’époque, il faut croire que l’homme – et la femme – ont toujours eu cette fâcheuse tendance à raconter des conneries dès lors qu’ils sont en train de se livrer à quelque chose qui ressemble au simulacre de la reproduction. Mais en attendant, je sentais la sève monter dans mes reins, de toute évidence elle aussi était sur le point de jouir, et je n’avais donc aucune envie de m’arrêter en si bon chemin !
Pratiquement cassée en deux sur le tronc sur lequel elle s’agrippait, ses seins frottant sur l’écorce rêche, chacun de mes fougueux assauts la faisait crier de plus en plus fort. Alors, oubliant tout, à commencer par son plaisir à elle, j’accélérai encore la cadence. La lave monta en moi, il me semblait que mon sexe grossissait encore, la sève monta, monta… et sur un ultime coup de reins, dans un cri de libération, je me répandis en elle, noyant ses intestins dans un flot de semence, tandis que sa jouissance à elle fut si soudaine et si violente que le hurlement qu’elle poussa fit peur aux rares oiseaux encore présents et qui s’envolèrent, effrayés.
La rentrée dans l’atmosphère fut quelque peu pénible, aussi bien pour elle que pour moi. Les jambes flageolantes, le ...