1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 01/02/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... surprise de cette liqueur blanchâtre qui perlait sur son ventre. Avec un naturel désarmant, elle posa délicatement ses doigts dessus comme pour en examiner la texture, avant de porter ce qu’elle venait de recueillir à son nez. Amusée, elle plongea de nouveau ses doigts dans le liquide blanc pour en récolter le plus possible, avant de les lécher amoureusement.
    
    Cette fille était incroyable…
    
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    Cinq jours. Cinq jours que nous n’étions pas sortis de la maison, occupés à faire l’amour, à manger un peu, à nous baigner et à refaire l’amour. Pétra avait été mariée pendant des années, mais son mari ne l’avait jamais déflorée, sans doute tout simplement parce qu’aucun des deux n’avait la moindre idée de la manière dont il fallait s’y prendre. Du coup, elle n’avait aucune connaissance sur les choses du sexe, mais elle apprenait vite, très vite même, en tout cas plus vite que moi je n’apprenais sa langue, même si je commençais tout doucement à réussir à tenir une vraie conversation avec elle.
    
    Le principal problème en sa compagnie venait de ce que justement les discussions ne duraient jamais bien longtemps, juste le temps qu’elle ne m’attrape par la queue et qu’une petite séance ne redémarre très vite. Par contre, je ne sais si cela venait de son ignorance totale ou de sa curiosité, mais rien ne lui faisait peur. C’est ainsi que je m’étais retrouvé à la sodomiser sans avoir eu besoin d’insister une seule seconde… Et comme si cela ne suffisait pas, elle avait une ...
    ... fois de plus pris son pied avec une facilité déconcertante.
    
    Elle ne semblait jamais rassasiée de ce que l’on faisait… Mais c’est la faim qui nous fit enfin sortir de notre tanière, nous étions à court de vivres, et comme il nous faudrait bien attendre six ou sept siècles pour que le téléphone, les pizzas et les livraisons à domicile soient enfin opérationnels, je décidais d’aller chercher de quoi manger.
    
    Pétra se chargea du pain, et moi, j’allai inspecter mes collets posés quelques jours plus tôt. Hélas, ils étaient tous vides, aussi décidai-je d’aller cueillir des fruits en espérant qu’un lapin ait la bonne idée de passer par là pendant que j’avais le dos tourné. Je regardai ma montre, rien ne pressait. Comme en plus je n’avais pas trouvé grand-chose à manger, juste quelques baies à grignoter, je décidai de faire une petite pause au pied d’un arbre. Il faut dire que les occasions de dormir, avec Pétra, n’étaient pas nombreuses, ou alors, pas longtemps…
    
    Ce furent les petits cris d’un lapin qui venait de se faire prendre dans un de mes collets qui me réveillèrent. Un nouveau coup d’œil sur ma montre, mince, j’avais dormi près de quatre heures…
    
    Tandis que je récupérais mon futur civet, je me demandais pourquoi les habitants n’en élevaient pas, cela serait nettement plus simple. Même si les garennes n’étaient pas censés vivre en cage, il n’en demeurait pas moins que les lapins de clapier n’étaient pas tombés du ciel, et il avait bien fallu qu’à un moment ou à un autre, ...
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