1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 01/02/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... fois qu’il connaissait quelque chose et que je n’avais pas besoin de prendre des risques à lui expliquer ce que c’était…
    
    — Eh bien ! cette photo de l’eau de la flaque, on va la grossir comme avec une loupe.
    
    Et au fur et à mesure que les détails se précisaient, l’on voyait apparaître les bestioles microscopiques qui peuplaient l’eau de la flaque. Le prêtre ouvrait des yeux ronds.
    
    — Ce sont de minuscules êtres vivants qui, si on les avale, vous rendent malade. Et si c’est un enfant, ça peut le tuer…
    — Et si on fait bouillir l’eau, ça les tue ?
    — Vous avez tout compris…
    — Et ce sont des créatures de Dieu ?
    — Bien entendu. Celles-ci sont dangereuses, mais il en est qui soignent certaines maladies.
    — Mais regardez, là, elles bougent !
    
    Je ne pus m’empêcher de rire.
    
    — C’est vrai, j’ai oublié de vous le dire…
    
    Je retournai la petite webcam en haut de l’écran, et je profitai de ce que Pétra passait devant celle-ci pour l’apostropher.
    
    — Pétra, viens, s’il te plaît… Viens par ici en regardant là, lui dis-je tout en montrant l’objectif de la webcam intégrée à l’écran.
    
    Aussitôt, son sourire illumina l’écran. Le prêtre se leva alors.
    
    — Décidément, vous… vous me surprendrez toujours. Je vous quitte, on m’attend à l’église.
    
    À peine avait-il franchi la porte de la maison que la langue de Pétra était dans ma bouche. Je pris quand même le temps d’enregistrer les quelques dizaines de secondes de vidéo où elle crevait l’écran de son sourire charmeur et d’arrêter ...
    ... l’ordi, essentiellement parce que j’avais quelque chose dans la tête et je ne tenais pas à ce que mon coucou finisse par terre et en pièces détachées.
    
    — Viens donc un peu là, ma grande…
    
    Je fis valser par-dessus sa tête mon haut de pyjama, et le bas ne fit pas long feu non plus. Nue, lovée contre moi, elle ne comprit pas bien ce que je faisais lorsque je la pris délicatement sous les fesses pour la poser sur le bord de la table. Elle devait peser tout au plus une cinquantaine de kilos, et la table était taillée dans un morceau de bois d’au moins quinze centimètres d’épaisseur. Pas trop de risques qu’elle s’effondre…
    
    Assise les jambes écartées et pendantes dans le vide, elle ne semblait toujours pas saisir où je voulais en venir. Du dos de la main, je caressai quelques secondes à peine les doux poils de son pubis, juste avant de poser délicatement le bout de mon doigt sur sa fente qui déjà ruisselait de désir. Lorsque je sortis ma queue, elle resta là, figée, comme si elle se demandait ce que je comptais faire de cette chose… J’approchai alors d’elle, la prenant par les hanches.
    
    Elle se laissait faire, docile, ne semblant éprouver aucune appréhension, mais ne semblait pas plus intéressée que cela. Elle avait été mariée, peut-être n’avait-elle pas eu beaucoup de plaisir avec son défunt mari, aussi peut-être n’était-elle pas pressée de me voir la prendre. Mais elle ne bougeait pas, silencieuse, son regard toujours fixé sur ma queue qui se rapprochait de plus en plus ...
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