En toute connaissance de cause. IPV2
Datte: 31/01/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... et qui, loin de chercher à s’enfuir, semble apprécier.
— Je bande. Tu sais ce qui tu dois faire.
Manifestement, elle sait. Cela doit faire partie de leurs codes. Elle s’agenouille devant l’homme. Elle tire le zip. Défait la ceinture. Tire sur le pantalon, puis sur le slip noir. Apparaît la verge. Une verge en effet déjà tendue. Une verge qui tremble. Une queue. Une bite. Il n’y a pas d’autres mots pour qualifier ce que l’amant propose. Et ma femme, gourmande, semble se lécher les babines de cette sucette. Elle aurait dû s’appeler Annie, cette cochonne qui gobe le gland pour en faire une friandise.
La garce, la salope, la chienne, la pute, l’ingrate ! Comment appelle-t-on une femme à qui on a tout appris d’une fellation réussie ? Et qui applique tout son art sur un autre. Un autre qui s’impatiente déjà. Qui appuie sur la tête afin que la gorge progresse plus vite sur le mandrin.
« Clac ! Clac ! » fait la cravache qui s’abat sur les fesses rebondies de la suceuse.
La main semble forcer ma femme, mais la pauvre ne peut pas plus. La bite est trop longue, trop grosse, et à l’aune des lèvres de Séverine je la devine plus imposante que la mienne.
— Allonge-toi.
Il suffit de si peu pour que ma femme s’installe. Manifestement, elle a l’habitude, et le petit sourire qui habille ses lèvres montre que cela ne lui déplaît pas. Un sourire sur des lèvres qui brillent d’humidité. Un sourire dans un visage dont les yeux brillent aussi. D’envie, de gourmandise, de réflexes ...
... d’une gorge maltraitée.
Elle s’allonge, mais pas comme je pensais. Les jambes qui montent sur le dossier du canapé, les reins sur l’assise et la tête en contrebas. Une position tout à fait improbable mais que l’amant utilise pour se placer. Lui, genoux fléchis, faisant face à Séverine guide son mandrin luisant de salive vers la chaleur des lèvres rouges. Commence alors une messe que je pensais réservée aux films pornos que la toile dévoile dès que l’on tape la recherche "gorge profonde" ou "fellation" ou "femme dominée pour sucer ", enfin ce que tout homme espère réaliser mais comme un rêve ou fantasme improbable.
Et j’avais cela à portée de main ! Je ne le savais pas. Même avec ma maîtresse où nos jeux sexuels sont plus débridés qu’avec nos conjoints, je n’ai jamais osé.
Un visage qui n’est plus qu’une gorge dont les lèvres rouge vif, brillantes, marquent la frontière. Une gorge que l’homme utilise à sa guise. Une gorge d’où refluent des flots de salive qui maculent le visage de la femme.
La femme ! Je n’ose dire "ma" femme ! Ce n’est plus qu’un visage souillé qui apparaît lorsque l’homme veut bien lui laisser le temps de reprendre sa respiration. Elle tousse. Elle crache. Mais jamais elle n’esquive. On dirait qu’elle aime. Et il faut aimer pour être traitée de la sorte, transformée en gouffre sans fin où la longue tige disparaît avec les deux grosses couilles qui doivent lui chatouiller le nez.
Arnaud a fini de se déshabiller. Il est nu. Ventre plat. Épaules ...