1. En toute connaissance de cause. IPV2


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fh, cocus, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... carrées. Torse recouvert d’une toison qui lui donne une force virile.
    
    La femme, elle, doit en avoir une vision très étrange. Son horizon, c’est la tige qui avance et recule, les couilles poilues, l’entrejambe, et même l’anus de son amant. Moi, j’en ai une vision plus générale. Bien mieux qu’un voyeur caché dans un placard, derrière une porte ou un rideau. Je peux orienter et zoomer.
    
    Arnaud joue aussi avec sa cravache. Il l’utilise pour claquer les cuisses qui lui font face ou frotter la chatte que la culotte fendue désigne à son regard. C’est fort. On pourrait croire à un viol si je n’avais vu la salope se placer ainsi et si je ne savais qu’elle pourrait se libérer d’un geste. Par moments son visage disparaît totalement sous son amant qui se penche sur elle alors que la queue l’étouffe. Et le bruit. Dans le silence de la pièce, silence des paroles, les bruits retentissent. Ces bruits infâmes de respiration, de déglutition, de salive brassée.
    
    Je comprends ce que voulait dire Séverine lorsqu’elle disait à sa maîtresse d’un soir « Il me possède. » Elle n’est que le jouet de cet homme. Un homme qui semble atteindre le bout du chemin. Le regard vide puis les yeux fermés annoncent sa jouissance. Il ne dit pourtant rien, ne prévient pas sa maîtresse. Tout au plus je remarque qu’il se retire, ne laissant que le bout de sa bite entre les lèvres. Il jouit. Il crache dans la gorge, inonde le palais, submerge la langue.
    
    Oh, il y a bien longtemps que je n’ai juté dans la ...
    ... bouche de ma femme. Il fut un temps où elle m’accordait ce plaisir mais maintenant, lorsqu’elle me suce, elle sait reconnaître la montée de ma sève et me retire de sa gorge.
    
    Là, l’homme ne lui laisse pas le choix, mais la salope le pourrait-elle ? Il la domine. Il la possède. Elle est son jouet sexuel. Jouet bien vivant et manifestement heureux de l’être.
    
    Il reste quelque secondes ainsi, savourant son plaisir. Et puis il se retire. Le visage ravagé reprend vie. La tête se soulève, et je devine plus que je ne vois l’affreuse déglutition qui termine le festin. Je n’arrive plus à quitter du regard ce visage. Un visage qui bouge. Un corps qui se déplace. La femme s’installe à genoux sur mon canapé, prenant appui de ses bras sur le dossier.
    
    Une femelle. Un visage dévasté où salive, rimmel, foutre tracent des sillons. Le menton est une cascade où ruisselle ce mélange qui tombe sur le cuir. Visage d’un autre temps, d’une autre époque, bestial, brutal où d’après les chercheurs – d’ailleurs, comment peuvent-ils en être si sûrs ? – le mâle prenait sa femelle comme il voyait faire les animaux autour de lui.
    
    Une femelle, une guenon qui se place pour la possession. À quatre pattes, elle attend son mâle. Levrette adoucie par la souplesse des coussins. Son mâle est juste derrière elle. Il bande toujours. La queue brille. Il fut un temps, au début de notre mariage, où jeunesse et désir me gardaient aussi en érection après la première fois.
    
    Arnaud joue avec sa bite. Il la frotte aux ...
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