1. En toute connaissance de cause. IPV2


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fh, cocus, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, fouetfesse, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... il arrive par le bois ! Que je suis con, j’aurais dû y penser. Il s’est garé un peu plus bas et ainsi les voisins ne le voient pas arriver, et si un promeneur le croise, sa destination reste anonyme.
    
    — Bonjour Arnaud.
    — Bonjour ma petite pute. Oh, tu t’es faite belle. Embrasse-moi.
    
    Je n’ai que le son. Un silence. J’imagine un silence mouillé pour eux.
    
    — Attends, attends. Viens voir ton cadeau, dit ma femme que je vois réapparaître entraînant avec elle son amant.
    
    Arnaud ! Mais oui, cet Arnaud-là.
    
    Lui et son épouse, Caroline, faisaient partie de nos connaissances. Nous les avons reçus, avec d’autres, et ils nous ont reçus. Mais c’est vrai, pas depuis un moment. Je n’avais pas fait attention, laissant Séverine gérer tout cela, mais je comprends. Elle a eu la délicatesse ou la peur de se trahir si nous nous rencontrions. Je dois reconnaître que moi je n’ai pas eu cette délicatesse avec ma maîtresse. Mais qui aurait compris que je demande de ne plus la recevoir, elle et son mari, chez nous ?
    
    Il est courtier en assurances. Bel homme, bien bâti d’après ce que j’avais vu lors d’une sortie à la mer. Plus jeune que nous. Nettement moins de quarante ans. Après tout, il peut être gratifiant, en tout cas moins humiliant, que l’amant de sa femme soit plutôt "bien".
    
    L’amant défait son cadeau. Déjà il ouvre la mallette.
    
    — Oh. Quelle belle idée. Que de plaisirs en perspective.
    
    Il sort les objets. La table est devenue une supérette du sexe.
    
    — On va manquer de ...
    ... temps, mais j’ai déjà des idées pour la prochaine fois. Sauf cela peut-être.
    
    Il tient dans sa main la petite cravache.
    
    — Voilà de quoi dresser ma petite pute.
    
    Il fait mine de claquer les fesses de ma femme. Elle évite, non de peur, mais d’amusement et dit :
    
    — Attends, j’ai une autre surprise.
    — Où ça ?
    — Sur moi. Si tu enlèves ma robe, tu verras.
    — Non, c’est toi qui vas le faire. Fais-moi bander.
    
    Il s’assied sur le canapé, jouant avec la cravache comme la promesse d’une punition si on ne lui obéit pas. Séverine paraît dépitée mais elle s’exécute. Avec un érotisme que je ne lui connaissais pas, du moins avec moi, elle tire langoureusement sur la fermeture Éclair. Quelques secondes plus tard, non sans avoir amplifié ses gestes comme une vraie stripteaseuse, la robe est au sol.
    
    Arnaud la découvre. Moi, je la retrouve. Elle porte la lingerie de pute, tissu fendu aux endroits que la décence cache normalement. On ne voit que cela : ses tétons, sa chatte, son cul. Oui, son cul car elle tourne sur elle-même dans un mouvement qui n’est que provocation.
    
    — C’est parfait. Tu as enfin trouvé le style qu’il te faut. Salope parmi les salopes, perverse parmi les perverses, pute parmi les putes. Approche !
    
    Elle avance. Son corps est une jachère que l’amant apprivoise sans délicatesse. Les tétons sont tordus. La chatte envahie par des doigts sans pudeur ; même l’anus est violé. Mais Séverine ne proteste pas. Ce n’est pas ma femme, cette chienne qui se laisse maltraiter ...
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