1. Nathalie


    Datte: 30/01/2019, Catégories: fh, train, vidéox, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: A6M5, Source: Revebebe

    ... vienne rejoindre ses deux comparses, bien au chaud. Le plaisir la gagne, elle tremble un peu, alors elle se recule et appuie ses fesses sur le tableau du bord. Ma langue rejoint mes doigts et s’insinue aussi dans sa chatte. J’ai trop envie d’elle, de lui mettre ma queue dans son minou si accueillant et je commence sérieusement à me sentir à l’étroit dans mon caleçon. Ma langue remonte petit à petit et vient titiller son clitoris.
    
    — Oh oui, oui. Aspire mon bouton.
    
    J’accède avec plaisir à sa demande et le prends dans ma bouche, le suçote, le taquine du bout de ma langue. Mes doigts s’occupent toujours de son vagin qui s’humidifie encore un peu plus. Visiblement elle apprécie beaucoup. Elle se tortille de plaisir, halète, pousse des gémissements qui me font bander encore plus.
    
    — J’en peux plus, j’ai trop envie de toi, lui dis-je dans un soupir.
    — Moi aussi, je veux te sentir en moi, viens me baiser.
    — J’arrive, répondis-je en retirant mon caleçon.
    — Attends. Tu as un préservatif ?
    
    Rha ! Merde, c’est juste. Heureusement qu’elle y pense, parce que dans mon état je l’aurais pénétrée directement, sans y penser. Je fouille dans mon pantalon, trouve mon porte-monnaie et en sors le petit capuchon salvateur. Elle me le prend des mains, déchire l’emballage et se saisit de ma bite. Elle fait quelques mouvements avec sa main. Elle décalotte mon gland, et enfile le préservatif sur ma queue.
    
    — Voilà. Tu peux venir me la mettre maintenant.
    
    Je la prends dans mes bras et ...
    ... je vais l’asseoir à nouveau sur le tableau de bord. Comme ça, sa fente est juste à la bonne hauteur. Je m’empare de mon pénis et le dirige vers le sexe de Nathalie. Pour faire monter encore un peu notre excitation, je fais quelques va-et-vient à l’orée de sa caverne, sans la pénétrer. Elle me lance un regard de braise et passe sa langue sur ses lèvres. Là, c’en est trop, je m’enfonce en elle, lentement. Je sens ses chairs s’ouvrir autour de ma queue. Elle est toute trempée, ouverte, ça rentre comme dans du beurre. Putain, c’est trop bon. Elle a le regard vague, la bouche entrouverte, elle se concentre sur son plaisir. Je commence à bouger dans son vagin, elle remue son bassin pour que ce soit encore meilleur. Elle pousse des petits cris, je gémis. Mes mouvements deviennent plus rapides, plus sauvages. Elle s’accroche à moi, les bras autour de mon cou, ses jambes serrent mon bassin. Je sens la chaleur de son corps contre le mien, sa poitrine sur mon torse, son souffle sur ma nuque. Je lui susurre des choses sales, elle me répond avec d’autres choses toutes aussi vilaines.
    
    — Je vais te prendre contre le mur, tu vas adorer.
    — Oui, je kiffe les murs.
    
    Je me retire à regret de son fourreau étroit et humide et la prends par la taille pour l’amener vers la porte de la cabine. Je la retourne et la plaque contre la paroi. Ses seins et sa joue écrasés sur la porte, il n’y a que son bassin qui se tend en arrière, cambré, prêt à accueillir ma queue. L’espace qui sépare sa vulve du ...
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