Nathalie - Histoires de Sexe

Nathalie

... j’ai trop envie de goûter à nouveau à sa mouille. J’y mets quelques doigts que j’enduis de son jus. Je les amène vers sa bouche. Elle les lèche goulûment.

Je retourne m’occuper de son cul. Je le lèche, le bout de ma langue pénètre dans son petit trou. Ma langue virevolte entre ses fesses, sur sa rondelle. J’y remets un doigt, puis un deuxième et un troisième. Elle émet des petits cris de plaisir. Comme j’estime qu’elle est suffisamment prête comme ça, j’approche mon gland et l’appuie sur son anus. Je pousse et la pénètre lentement. Elle pousse un long râle. Ça y est, je suis entré. Une fois ma bite bien au fond, je reste un moment sans bouger, pour qu’elle s’habitue à ma présence dans son fondement.

— Hum… je suis bien avec ta queue au fond de moi.
— Petite enculée, tu aimes ça ?
— Oui… ta bite est toute chaude, toute dure.

Je commence mes va-et-vient au fond de son cul, d’abord lentement puis de plus en plus vite. Elle crie, hurle son plaisir. J’ai de la peine à retenir mes gémissements, moi aussi. Son bassin vient à la rencontre du mien. Je suis si bien au fond de sa rondelle. Je lui caresse les seins, lui murmure des cochonneries à l’oreille. Elle perd la tête, devient grossière, se met à dire des choses de plus en plus sales. Moi aussi, j’aime ça. Un feulement fend ...

... l’air. Elle vient de jouir. Elle est toute tremblante, parcourue par des spasmes qui se répercutent sur mon sexe. À ce rythme, je vais pas tarder à avoir un orgasme aussi.

Je me retire de son cul, enlève mon préservatif et entreprends de me branler entre ses fesses. Il ne faut pas plus de quelques mouvements pour qu’un long jet jaillisse de ma queue et vienne rayer son dos d’une traînée blanche. Il est immédiatement suivi par plusieurs autres. Haletant, il me faut quelques instants pour me remettre de ma jouissance. Je la prends dans mes bras, la couche sur le dos et l’embrasse une dernière fois, en caressant sa joue.

Elle éteint la lumière et revient se coucher. On s’endort comme ça, dans les bras l’un de l’autre, mon corps contre le sien.

Un rayon de soleil me réveille au petit matin. Je sens la chaleur de Nathalie contre moi, la douceur se sa peau. Je hume le parfum de sa chevelure, elle sent si bon. Une caresse la réveille. Elle me regarde et me dépose un baiser sur la joue.

— J’ai fait un rêve cette nuit, me dit-elle.
— Ah oui ? Raconte-moi.
— J’étais dans mon lit. Un beau jeune homme y dormait avec moi. Il me réveillait doucement et me faisait l’amour toute la journée. Tu crois que c’est prémonitoire ?
— Sûrement. Je vais voir ce que je peux faire pour le réaliser.