1. Les confidences d'un sac à main (deuxième partie)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: fhh, jeunes, copains, jardin, dispute, Oral hdanus, Humour couple+h, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... les seins à moitié à l’air, avec un bazar en cuir de luxe ?
    
    Graziella se lève, drapée dans sa dignité; la toison en bataille et les fesses arrondies par une bonne nuit. Elle fait un doigt d’honneur à son copain et se douche. L’eau la rend raisonnable et, toute mouillée, elle ne demande plus qu’une petite compensation : conserver le sac jusqu’à midi. Max, ému par toute cette nudité dégoulinante, fait un geste d’approbation assez vague. Elle saute de joie et se déchaîne sur la ceinture du jeune homme qu’elle déshabille en deux temps, trois mouvements. Elle lui offre la pipe bien méritée. Pas celle que l’on fait par habitude pour calmer une ardeur un peu trop virile, mais celle qui permet à tous les doigts d’avoir un grand rôle depuis les coulisses jusqu’au trou du souffleur. Quand Max est assez fier de son érection, elle prend le sac et l’accroche au pénis dressé. Puis elle demande à son amant de faire l’amour contre l’armoire, en conservant le cuir entre leurs deux peaux. Une fantaisie qui aiguise le désir de Max. Chaque fois qu’il va-et-vient dans le vagin accueillant, le bel objet lui bat en cadence les testicules. Il éjacule avec délectation; quelques minutes et deux caresses plus tard, le sac tombe dans un bruit sourd sur le linoléum.
    
    Au petit matin de ce mois de juillet, Max vient de jeter le sac dans un parc public, derrière un buisson d’aubépines. Il s’amuse souvent du nom de cet arbuste, car il est sujet aux érections matinales : aube et pine. S’assurant que ...
    ... le parc est complètement désert, le motard redémarre son engin sans la moindre émotion. Quant au malheureux sac, il a roulé un instant, s’est couvert de rosée et est arrêté dans sa course par une racine. La journée sera longue pour lui. Personne pour s’apercevoir de sa présence. Ce n’est que vers vingt heures qu’un couple vient s’allonger sur l’herbe. Diane et Jérôme sont étudiants. La journée fut un peu studieuse, car Jérôme a des examens à repasser en septembre. Diane l’aide, mais elle l’a prévenu : quand on bosse, on bosse ! Aussi, après une révision aussi ardue et des exercices répétés jusqu’à ce qu’ils soient compris, les deux amoureux ont bien le droit de participer à la douceur du soir. D’autant plus que demain, même programme a annoncé Diane en jetant un regard très sérieux à son petit copain, qui se fait de plus en plus petit, comme toujours dans ces cas-là. On ne discute pas avec Diane. Et puis, il serait tellement dommage de rater une année et surtout de ne plus se retrouver à côté d’elle dans l’amphi…
    
    Mais ce soir, tout est permis. Elle se laisse caresser avec un sourire qui incite à aller toujours plus loin. Déjà les mains de Jérôme ont dégrafé le soutif et les seins pointent hardiment sous le chemisier. Maintenant, il entre délicatement dans la culotte et constate qu’il n’y a aucune indifférence de la part de son amante. Elle sourit, à peine gênée, quand il ressort ses doigts tout imprégnés de cyprine. Mais sur le banc, deux retraités commencent à considérer ...
«1...345...»