1. Quand le tulle et le rose s'emparent d'Adeline


    Datte: 28/01/2019, Catégories: fh, inconnu, essayage, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... pas. Sans la moindre gêne, elle lui fait face.
    
    — Je crois que je vais commencer par retirer mon pull. De toute façon, il fait si chaud maintenant qu’il est inutile.
    
    Elle fait donc glisser son pull le long de son torse, sans se presser, s’arrêtant juste sous ses seins, se tournant pour lui révéler son dos, le laissant craindre qu’elle franchisse sa poitrine à l’abri de son regard. Non, elle se retourne et il peut contempler cette taille qu’il n’imaginait pas aussi étroite. Ne tardant plus, elle fait basculer le morceau de laine par dessus sa tête et elle le tend à Frédéric qui s’en empare mécaniquement et ne sait pas où le poser dans un premier temps, le serrant finalement nerveusement entre ses mains et s’en servant finalement pour protéger son bas-ventre en ébullition.
    
    Elle porte un soutien-gorge rose en tulle très pâle. Il est incrusté d’une dentelle fine autour des bonnets. Il masque à peine ses larges aréoles foncées. Elle bouge un peu les épaules, se tourne d’un côté, puis de l’autre pour lui faire entrevoir et surtout admirer le volume de ses deux globes, dont elle est assez fière. Ils en imposent en se découpant ainsi de profil, garderont-ils la même raideur lorsqu’ils auront perdu leur conque protectrice ? Pourtant, elle ne lui donne pas le temps d’en savoir plus, elle ne s’attarde pas dans cette posture et passe lentement ses mains derrière son dos, elle fait sauter la pièce de tissu qui tombe sans bruit à ses pieds.
    
    Ils sont enfin là, devant lui, ...
    ... blancs et lourds, parfaitement séparés. Aucune marque d’un quelconque bronzage n’en perturbe l’harmonie et le teint. Après les avoir soupesés, en les comprimant légèrement et éprouvé leur fermeté, elle les remonte à pleines mains depuis leur base très large et rebondie. Elle les enveloppe presque totalement, les épouse et coule sur leur peau blanche, parcourue de fines veines d’un bleu sombre. Elle s’avance savamment, en un doux massage, sur ses mamelons. Au contact des doigts pourtant connus, les pointes d’un rose sombre, tirant légèrement sur le marron, se gonflent, se tendent, se transforment en deux boutons rugueux presque anormalement gros et provocants.
    
    Frédéric éprouve aussitôt, à la vue de cette transformation, l’envie de les pincer, de les triturer et même de les mordre pour en constater la réalité. Mais cette vision si charnelle vient de déclencher chez lui une érection qu’il ne peut dominer. Il la sent parfaitement visible, tout aussi incongrue, mais tout aussi captivante pour elle que les deux fleurs qu’il n’arrive pas à abandonner du regard, tant elles le fascinent et l’envoûtent.
    
    — Je vois que cela produit son effet, s’écrie-t-elle tout sourire.
    
    Provocante et voulant pousser toujours plus loin son avantage, elle dégage encore plus ses épaules, se redressant, afin de tendre encore plus ses deux mamelles totalement libres que le moindre mouvement du buste agite doucement. Leur peau lisse vibre pourtant à peine et les quelques veines bleues qui la parcourent, ...
«12...8910...13»