L'insoutenable perversité de l'être
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
extracon,
fsoumise,
fdomine,
sm,
fouetfesse,
journal,
Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe
... hauteur de mon postérieur. Elle a posé la main sur ma croupe, cherchant tout de suite du bout des doigts à toucher mon sexe brûlant, puis elle a dit :
— J’ai exaucé beaucoup de vos attentes sexuelles, Alexandra. Laissez-moi maintenant donner libre cours à ma passion pour les pouliches !
J’ai frémi de la tête aux pieds, je l’imaginais déjà me ravageant de la boucle de cuir placée au bout de la cravache. Elle a perçu mon émoi :
— Vous n’êtes pas d’accord pour que je vous corrige ?
— Si, mais ne m’abîmez pas, s’il vous plaît !
Ma voix était éteinte, inquiète. Elle a passé sa main dans mes cheveux, puis ses lèvres se sont pressées sur ma bouche, j’ai senti le fugace contact de sa langue sur la mienne. Ce baiser m’a émue aux larmes, j’étais prête à subir ses assauts.
Elle a lentement promené sa cravache sur mes rondeurs, puis elle a imprimé de petits coups sur le gras des fesses. Elle a repris sa visite, suivant à nouveau le sillon jusqu’à venir appuyer sur ma vulve. Le contact a disparu un court instant, suivi d’un fouettement de l’air, puis l’impact cuisant du cuir sur ma fesse gauche, aussitôt remplacé par sa main cajoleuse. Elle a usé plusieurs fois de ce stratagème. À chaque fois, la douleur, intense pendant une fraction de seconde, se mélangeait à la chaleur de mon sexe brûlant de désir… et s’y noyait. Les cinglements se sont accélérés, trop finalement que pour être absorbés par mon état d’excitation sexuelle et pour m’arracher de véritables cris de ...
... douleur. Elle a alors changé de pratique. Elle a glissé le manche de son instrument entre mes cuisses, contre mon sexe, et a caressé ma croupe endolorie.
Elle s’est exclamée :
— Comment pourrais-je amener vos fesses au-delà de la température de votre sexe ? Vous êtes littéralement en chaleur, Alexandra. Cela vous plaît de vous montrer à moi dans cet état ?
Elle manœuvrait le manche si habilement que l’effet était irrésistible. Je n’ai su répondre que :
— Pardonnez-moi !
— Vous êtes une belle pouliche, insatiable…
Là-dessus, elle a combiné les effets du manche de la cravache avec de grosses claques sonores sur mon cul. Elle m’a fait jouir rapidement. J’ai replié bras et genoux pour me remettre de mes émotions. Elle est venue s’asseoir à ma tête, j’ai voulu ôter le bandeau, elle m’en a dissuadé en m’indiquant que ce n’était pas fini. Elle m’a caressé tendrement la tête et les épaules. Elle a demandé après quelques minutes :
— Vous avez encore envie, n’est ce pas ?
J’ai fait « oui » de la tête.
— Redressez-vous comme vous étiez !
J’ai repris ma position à quatre pattes. Elle a glissé sa main sous moi pour me palper les seins.
— Vous aimez que l’on vous touche, que l’on vous caresse. Vous aimez particulièrement quand c’est une femme qui le fait.
J’aurais dû répondre que j’aimais surtout qu’elle fût cette femme. Elle a fait tanguer le lit pour m’embrasser le cou et faire descendre sa main sur mon ventre. Puis elle a présenté un sein devant ma bouche. Je ...