1. L'insoutenable perversité de l'être


    Datte: 18/02/2018, Catégories: f, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, sm, fouetfesse, journal, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    ... bien.
    
    Elle a ramassé un bandeau noir qu’elle avait préparé avant mon arrivée et m’a intimé l’ordre de le placer sur mes yeux. Je me suis retrouvée dans le noir complet. Elle m’a guidée par la main jusqu’à sa chambre et son lit où elle m’a demandé de me placer à quatre pattes.
    
    Elle a posé le bout de sa cravache sur mon flanc droit et l’a promené lentement sur ma peau. Puis une main s’est posée sur mon dos et a caressé mes reins, mes fesses, puis mon ventre et mes seins. La caresse s’attardait sur mes seins qui sont rapidement devenus durs. J’ai ressenti une excitation immédiate à ce double contact. J’ai émis un gémissement.
    
    Le bout de la cravache jouait maintenant avec mon sillon fessier, s’immisçant jusqu’à mon sexe. D’un petit coup cinglant du cuir sur ma cuisse elle m’a ordonné d’ouvrir mes jambes. La cravache s’est alors promenée sur ma vulve déjà humide.
    
    J’étais terrorisée de l’usage qu’elle pouvait faire de cet instrument, et cet état de peur, ajouté aux attouchements dont elle n’était pas coutumière, me mettait dans un irrésistible état de désir sexuel. Brusquement, deux coups ont fouetté l’air pour venir cingler chaque fesse et elle a exigé une nouvelle fois :
    
    — Vous ne poserez aucune question, Alexandra !
    
    Le ’non’ dont je l’ai assurée est venu mourir en une plainte de douleur. De la main, elle a appuyé sur mes joues pour me faire ouvrir la bouche, elle a glissé la cravache en travers de mes dents, j’y ai mordu, elle m’a demandé de la ...
    ... garder.
    
    Rapidement, ses mains ont englobé mes fesses, mes reins et mes cuisses en une longue caresse attentionnée. Je creusais les reins de désir. Ma position était inconfortable, et des craintes diverses m’envahissaient le cerveau. Je souhaitais qu’elle me caresse. Habituellement, dès que ce souhait surgissait, j’en étais quitte pour une frustration, mais là elle m’a exaucée. Ses doigts se sont présentés à mon sexe et se sont montrés d’une grande habileté pour me faire frémir de plaisir. Elle a commencé par mon bouton, déjà si proéminent, puis s’est permise toutes les audaces, pénétrant mon sexe puis mon anus. Je râlais mon bonheur, acceptant tout comme un cadeau inespéré. J’étais prête à jouir quand elle a ponctué mon état d’une grande claque sur le postérieur, me ramenant à des habitudes plus conventionnelles entre nous. Est-ce à ce moment-là que je l’ai entendue murmurer quelque chose comme « garce » ?
    
    Elle a ôté la cravache de ma bouche et y a introduit un objet plus gros, lisse, de forme oblongue. Elle l’a manœuvré par un doux va-et-vient en me disant :
    
    — Il faut l’aimer, Alexandra, sucez-le comme vous le feriez du sexe de votre amant !
    
    C’était un godemiché. Elle me faisait faire une fellation à un objet symbole de tous les excès. L’effet de surprise passé, j’ai vaincu ma réticence à m’avilir ainsi et, pour elle, j’ai sucé la chose en y mettant tout mon cœur.
    
    Après qu’elle eût retiré l’objet de ma bouche, je l’ai sentie qui venait s’agenouiller sur mon côté gauche, à ...
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