L'insoutenable perversité de l'être
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
extracon,
fsoumise,
fdomine,
sm,
fouetfesse,
journal,
Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe
... l’ai happé, ravie de la tournure que prenaient les évènements. Ce sein était gros, la tétine dardée fuyait ma bouche, je m’appliquais à le cerner, quitte à le mordiller. Le lit a encore bougé, elle devait être assise devant moi, elle tenait ses seins dans ses mains et me les présentait l’un après l’autre. Puis ses mains ont appuyé sur ma nuque, mon visage est descendu le long de son torse, j’ai réalisé qu’elle était nue !
Son ventre était enserré de lanières de cuir et j’ai retrouvé le godemiché lié à sa taille en position saillante. Elle m’a guidée vers son sexe à elle. Je l’ai lapé sans me poser de questions. Les premiers soupirs dus à mes caresses m’ont intrigué, alors la voix de Cathy s’est fait entendre, une voix qui venait d’un des côtés du lit, à environ un mètre !
— Rappelez-vous, Alexandra, pas de questions !
La femme à qui je prodiguais mes attentions buccales n’était pas Cathy !
— Continuez, ma chérie, vous êtes merveilleuse !
Margot venait de s’identifier, ses mains parcouraient mes seins et mes épaules. Ses caresses expertes étaient signées aussi, c’était elle qui devait me palper le plus souvent depuis le début de la séance. Elle était très excitée si j’en jugeais le déploiement impressionnant de son clitoris.
Je me suis recadrée dans cette scène que je ne pouvais voir. Cathy, vraisemblablement dans sa tenue de cavalière, assise sur l’un des fauteuils de la chambre, Margot nue, ceinte d’un godemiché… et moi le jouet docile. La désillusion ...
... était féroce, je me suis mise à gémir de dépit.
Margot a compris ma déception et m’a couverte de mots tendres et de caresses. Cathy s’est assise près de moi et m’a demandé de me laisser aller à mes pulsions. Elle m’a caressé le dos les fesses pendant que Margot m’enfournait son pénis artificiel dans la bouche. Elle donnait de souples coups de reins et je suçais malgré moi.
Je pleurais. Margot est ensuite passée derrière moi, entre mes cuisses, et s’est évertuée à m’émouvoir d’un cunnilingus appliqué. Cathy s’est assise à ma tête, elle m’a caressé les seins, j’ai cherché ses lèvres. Elle a ôté mon bandeau.
La pièce était éclairée par deux lampes. Cathy était habillée comme je l’avais deviné. Elle me regardait intensément et m’a murmuré :
— Laissez-vous aller, ma chérie, c’est moi qui ai voulu ce bonheur-là pour vous.
Puis elle m’a donné ses lèvres, sa bouche, sa langue. Rapidement le plaisir est revenu.
Margot était experte dans la façon de faire jouir une femme. Si les baisers de Cathy m’ont aidée à franchir le pas, les caresses attentionnées de Margot m’ont bientôt remise en état de jouissance.
Cathy était près de moi, j’avais ma joue contre sa poitrine. J’ai regardé Margot nue, très pulpeuse, se redresser et me pénétrer de son gode. Elle a enserré mes hanches de ses bras, ses mains sont venues au contact de mon sexe et de mes seins. Les siens, plus imposants, se balançaient au rythme de ses va-et-vient. Dans son regard je n’ai lu que le plaisir de me faire ...