1. L'insoutenable perversité de l'être


    Datte: 18/02/2018, Catégories: f, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, sm, fouetfesse, journal, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    ... séries furieuses qui s’abattaient sur toutes les parcelles de mon postérieur. À l’énoncé des nouvelles règles du jour, je m’étais demandé un instant comment j’allais pouvoir gérer la durée de la séance, puisque c’était à moi d’en demander la fin. Si je le faisais trop rapidement cela allait se voir, et si je tardais trop je risquais de passer pour une masochiste. Mais le trouble dû à la présence de Margot et le raffinement exercé par Cathy m’ont évité de me poser trop longtemps ces questions.
    
    Entre chaque salve, la main redevenait caressante, débordant régulièrement sur les abords de mon sexe. Je perdais tout contrôle de mes réactions et devais offrir le spectacle d’une femme dévergondée en train de prendre son pied dans une séance de S-M. Hormis le bruit régulier des claques, mes plaintes alanguies répondaient aux essoufflements de Cathy. J’avais l’impression que mon fessier irradiait. Elle a fait descendre ses coups sur mes cuisses. Le résultat était plus cinglant. J’ai poussé des « oh » de surprise et de douleur, j’ai rouvert les yeux. Un rapide coup d’œil à ma droite m’a indiqué que Margot était fascinée par ce qu’elle voyait. Les plaintes rauques et alanguies se sont changées en cris de douleur. Il m’a fallu plusieurs minutes encore de ce traitement pour me résoudre à demander grâce.
    
    Cathy a continué à flageller mes cuisses et mes fesses avec, m’a-t-il semblé, un redoublement de zèle. Quand elle s’est arrêtée, je pleurais. Margot s’est approchée de moi, a ...
    ... posé sa main fraîche sur mes fesses brûlantes et les a caressées avec compassion. Ce geste m’a autant émue qu’il m’a dérangé, je l’ai toléré quelques minutes, puis je me suis dégagée pour prestement me rajuster.
    
    Cathy était assise dans le canapé, sans expression particulière. Margot restait debout sans trop savoir quelle attitude adopter. J’ai choisi de ne pas m’attarder et j’ai pris congé rapidement, omettant de saluer Margot.
    
    Je viens de rentrer de chez Cathy et je suis si bouleversée !
    
    Je crains de ne pas trouver les mots exacts pour relater la séance que je viens de vivre, et pourtant j’ai besoin de me libérer par écrit de tout ce que je ressens.
    
    Quand elle m’a accueillie, elle avait revêtu sa tenue de cavalière. J’étais surprise de la trouver habillée ainsi et je lui ai demandé si elle comptait sortir. Elle a répondu, énigmatique :
    
    — Pas que je sache ! J’ai mis la tenue qui convient pour dompter une jeune pouliche !
    
    Sa bombe, ses bottes et la cravache qu’elle tenait sous le bras lui donnaient une allure de dominatrice qui m’intimidait, j’ai baissé la tête.
    
    Au milieu du salon elle a commandé :
    
    — Déshabillez-vous entièrement !
    
    Pendant que je m’exécutais, elle se tenait debout devant moi, les jambes écartées. Puis elle a dit :
    
    — Lorsque nous avons mis en place le jeu de rôle auquel nous nous livrons chaque semaine, vous avez juré de m’obéir sans poser de questions.
    
    J’ai acquiescée de la tête.
    
    — Alors, si vous vous en souvenez, tout va ...
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