1. Un cocu heureux 8


    Datte: 27/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... met à les agiter à vitesse folle dans un bruit effrayant de clapotis sans fin.
    
    Mylène se mord les lèvres mais ses plaintes lui échappent. Léa se précipite pour fermer les fenêtres. Le voisinage n’a pas besoin de prendre feu parce qu’elle connaît un premier orgasme fulgurant. L’homme, aux accents de détresse et d’abandon, se trouve formidable. Il trouve dans le chant de l’orgasme un encouragement à faire mieux. Il ferme sa bouche, ses yeux s’illuminent, ses doigts deviennent encore plus sauvages, les secousses sont plus appuyées, plus énervées. Mylène râle, feule et pousse un cri aigu. Des jets de liquide jaillissent de sa vulve, noient les doigts vainqueurs, débordent et vont éclabousser le drap du matelas qui se teinte de taches humides et sombres. Elle ne contrôle même plus sa vessie. Léo lui accorde un repos, me regarde l’air de dire:
    
    - Apprends comment il faut traiter une femme.
    
    Il a raison, je n’ai jamais fait pisser de plaisir ma femme en lui faisant l’amour. Peut-être ai-je eu tort d’écouter ses supplications lorsqu’elle atteignait certaines rives. Léo n’a montré aucune pitié, il a forcé et il obtient ce résultat. Mylène est étonnée de s’être laissée aller à cet excès. Léa grogne de mécontentement :
    
    - Vous salopez les draps et les matelas. Va pisser avant de te faire sauter si tu ne sais pas te retenir.
    
    Elle arrache le drap, sort, revient avec un drap propre. Elle enrage.
    
    - Allez, donne ton string avant de souiller les coussins du canapé et va te ...
    ... rincer sous la douche.
    
    Toujours en ronchonnant Léa envoie des jets de déodorant à travers la pièce. Au retour de sa rivale, elle s’en prend à son mari:
    
    - Dis, tu pourrais te laver les mains. Tu ne vas pas passer ton temps à lécher tes doigts pleins d’urine. Un peu d’hygiène contribuera à votre bien être.
    
    J’avoue m’être attendu à plus de douceur, plus de tendresse. La démonstration a été chaude, trop brutale à mon goût. Mais quoi que j’en pense, elle doit convenir à Mylène d’abord . Dans ses yeux brouillés de larmes de plaisir, sur sa face rougie, je lis la réussite de la méthode. Ai-je péché par excès d’amour, de respect ? J’aurais dû la traiter sans précaution pour lui arracher son plaisir. Cette force sans frein, la rudesse des caresses lui ont peut-être manqué avec moi. Elle a manifestement besoin ou envie d’être rudoyée, conduite à la limite de la souffrance pour jouir vraiment.
    
    Jusqu’à présent sa jouissance plus discrète avait paru la satisfaire lors de nos rapports. Mais la montée en intensité de ces préliminaires avec Léo lui donne un visage rayonnant. Elle se redresse, tend les mains à son « révélateur », lui dit deux mots à l’oreille. Enfin, retenue à bout de bras elle se laisse aller en arrière, aboutit sur le matelas, pieds tendus dans ma direction. Ses jambes s’ouvrent, sous les poils du pubis la vulve encore gonflée de sang bâille légèrement dans sa partie inférieure, une tache noire marque l’entrée qui a du mal à se refermer après la première épreuve. ...
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