Un cocu heureux 8
Datte: 27/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... hier quand Gérard la possédait. Léo partage, il suce son majeur et offre son index à la bouche ravie de sa complice. Il est trop soucieux de démontrer. . La main quitte le bas-ventre.
Mylène profite de cet instant de relâchement, fait une volte-face et se retrouve à genoux entre les pieds de Léo. Un léger déplacement nous permet de voir le nouveau centre d’intérêt. Je devrais les remercier d’être aussi appliqués à ne rien nous cacher, si j’avais toujours le même intérêt à contempler mon cocufiage. Prise d’un zèle irrésistible, ma femme baisse la ceinture du slip, la rabat sur les cuisses et s’empare du vit raide, convenable, assez long et épais. Voilà l’objet de son désir. A deux mains elle soupèse le paquet, boules et hampe et sans tarder accorde un bisou d’adoration au gland sorti de son prépuce.
Un bisou, deux, trois donnés dans des éclats de rire puis elle avale la pointe, la recrache huilée de salive et de ses propres sécrétions avant de se lancer dans une interminable fellation. Léo subit avec orgueil, me toise et attend en vain des applaudissements. Léa piaffe. A petits pas en marche arrière il se dirige vers le canapé. Au bout de son pieu la sangsue avance un genou puis l’autre, suit le mouvement, cul tourné vers nous, abricot gonflé dans la niche du haut des cuisses.
Bientôt la lance frappera au milieu de cette fente, écartera les deux hémisphères de chair si douce et pourfendra ce sexe qui s’était jadis donné en exclusivité à moi. Ce sexe était mien. ...
... Hélas Gérard s’en est emparé, l’a visité en long et en large, l’a possédé et béni de son sperme. Le sacrilège m’a plu sur le moment. Cette seconde rencontre avec un autre va me déposséder davantage de cette femme. Elle se ment en croyant excuser sa libido déchaînée par l’illusion de la satisfaction de mon fantasme. C’est tellement commode de trouver pareil prétexte pour tranquilliser sa conscience.
Tromper pour faire plaisir au mari, c’est un comble ! Cette idée la porte, excuse tout, l’enchante et elle en profite au maximum. Cela se voit chaque fois qu’elle lâche sa « sucette » pour me sourire d’un air entendu. Comme une gamine heureuse de sucer un cône de glace en été remercie d‘un sourire le parent qui l‘a payée, ma femme me témoigne sa reconnaissance. La salope ! J’ai envie de hurler, mais contre moi, contre cette carte blanche accordée dans un élan stupide, dans un instant de désordre mental. C’est devenu notre fantasme après une trahison qui n’en relevait pas de mon fantasme tu : elle ignorait mon fantasme alors qu’elle se faisait enfiler par son premier amant et me supposait au bord de la mer. Son premier amant ? Je suis en droit de douter si je considère la rapidité de leur rencontre et leur détermination à se faire du bien aussitôt, de mettre à profit mon éloignement momentané.
Hier, pour la première fois je l’ai surprise et aujourd’hui elle a été obligée d’avouer. Combien d’autres fois a-t-elle échappé à mon regard. Je n’avais pas de soupçons, pas de raison ...