La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1082)
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... répondit le Majordome.
Maître me regardait comme me demandant de confirmer les dires de Walter, mais je restais muette. Muette mais mes yeux parlaient pour moi, comprenant soudainement le pourquoi de ma venue inopinée dans le bureau du Maître. J’avais la tête haute, et la fierté de ma race et de mon sang, seuls mes yeux disaient au Châtelain :
- Oui, Maître, Walter dit vrai.
Monsieur le Marquis comprit mon regard parlant, s’approcha de moi, caressa mon visage, et me fit comprendre d’ouvrir la bouche, ce que je fis, et y pénétra de sa langue en un baiser si torride que mon échine en fût parcourue de frissons d’aise. Le Majordome m’entraina dans la pièce voisine et j’attendis l’arrivée de Monsieur le Comte. A onze heures sonnantes, j’entendis Walter annoncer l’arrivée du Comte de Beusgley qui fut introduit dans le bureau du Maître.
- Bonjour cher ami, dit le Noble
- Bonjour mon très cher ami, lui répondit le Comte. (reconnaissant sa voix)
Tandis que j’avais l’oreille tendue vers la porte, (petite curieuse que je suis) j’entendis derrière moi un :
- Hum !
Me retournant vivement, je vis le Majordome qui était là, entré par je ne sais quelle porte dérobée, mais qui me faisait les gros yeux.
- Ce n’est pas bien d’écouter aux portes petite chienne, mais aujourd’hui je ne dirai rien. Je pense que tu as compris pourquoi Monsieur le Comte est venu ce jour. Il est là pour rendre compte à Monsieur le Marquis de la visite qu’il a effectuée auprès de toi, ...
... l’autre jour.
Comme je faisais comprendre à Walter que je comprenais, il ajouta :
- Sauf que j’ai relaté au Maître la tentative de Monsieur le Comte d’abuser de ta personne, et je peux t’assurer que je n’ai jamais vu blêmir Monsieur le Marquis comme en ce moment où je lui ai annoncé la tentative du Comte à ton égard. Je ne sais pas comment l’entretien se poursuivra mais je pense que ça va barder, crois-moi !
Je regardais, incrédule, Walter me parlait comme si j’étais son égale, comme si ce qu’il me disait était normal, et tandis que je lui envoyais mon sourire le plus doux, ce fut la première fois que j’entrevis une faille par son sourire dans la cuirasse du Majordome, devenu l’espace d’une seconde, un être humain respectueux et bon envers une esclave ! Se reprenant vivement, il me dit :
- Eloigne-toi de la porte, petite chienne, Maître m’apprécierait pas du tout de te voir l’espionner.
Il était redevenu le Majordome strict et Dominant et je répondis :
- Oui, bien sûr, veuillez me pardonner, Monsieur !
- Au lieu de jouer à écouter aux portes, viens plutôt me soulager …
Tout en disant cela il me fit comprendre par son geste clair de la main, de m’agenouiller et de le sucer alors qu’il ouvrit sa braguette pour en sortir une verge déjà mi-dure. Alors je pris en main cette verge de plus en plus tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre ...