La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1082)
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
Le Majordome reprit la laisse, en donna un coup sec ce qui me fit revenir sur terre, descendre de la table, tentant de retrouver mon équilibre, tant mes jambes tremblaient encore … Quelques jours ont passé et donc après l’épisode de la visite de Monsieur le Comte que j’avais déjà oublié, le Maître appela Walter par l’interphone lui ordonnant de venir tout de suite. Le Majordome avait une admiration sans borne pour Monsieur le Marquis et lui était complètement dévoué. Dans le passé, le Noble l’avait sauvé d’une situation difficile et en avait fait son Majordome et bras droit, ce qui explique la fidélité inébranlable de Walter et la quasi dévotion qu’il portait au Châtelain devenu son employeur
- Walter, viens me voir immédiatement dans mon bureau, et amène-moi Ma petite chienne préférée.
- Oui Monsieur le Marquis, tout de suite, répondit Walter, abandonnant ce qu’il faisait.
Le Majordome vient me chercher tandis que je finissais de m’habiller. Je portais une sorte de robe de soie, transparente au possible, avec des escarpins de style Salomé, sur ma tête un voile blanc du même tissu, brodé d’un liseré rouge, au cou un collier arborant les Initiales du Maître gravées en lettres d’or dans le métal et la laisse de cuir tressé... J’avais fière allure, une véritable princesse de harem...
- Viens, suis-moi, m’ordonna Walter, Monsieur le Marquis nous appelle, tous ...
... les deux !
- Oui Monsieur, répondis-je !
Arrivés devant la porte du bureau du Maître, le Majordome s’arrêta, me regarda une dernière fois, et me dit :
- Tu es belle, oui très belle et parfaite, petite chienne (puis il frappa)
- Entrez !
Le ton du Maître me donna à penser immédiatement qu’il était en colère ou tout au moins, énervé par quelque chose. Walter ouvrit la porte, entra en me faisant signe d’attendre.
- Ah oui, mon bon Walter, entre donc... m’as-tu amené Ma petite chienne ?
- Oui bien sûr Monsieur le Marquis, je pense que vous allez être content.
A ces mots, le Noble releva brusquement la tête comme surpris de ce que venait de lui dire son Majordome. Walter ouvrit la porte et me dit :
- Entre, petite chienne !
Le Châtelain était assis à son bureau, comme attendant une surprise, et effectivement, mon entrée ne passa pas inaperçue... Mon pas, chaloupé, pas instinctif de mannequin, parée comme je l’étais, entourée de voiles, la laisse pendante entes mes seins visibles sous les voiles, ma façon d’avancer la jambe, mon bassin ondulant mais toujours de façon non provocante ni accentuée, mais naturelle, tout ceci fit enlever ses lunettes au Noble qui resta bouche bée, devant ce qui lui semblait une apparition...
- Co…comment...est-elle habillée ? articula le Maître en se frottant les yeux d’étonnement ou d’émerveillement.
- Monsieur le Marquis n’est pas content ? dit sobrement et doucement Walter, soudain devenu craintif de la réaction ...