La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1082)
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... possible du Châtelain
- Ah ! Mais pas du tout, Walter, pas du tout, sauf que je ne m’attendais pas à cette présentation si... étonnante, si... merveilleuse, si... inattendue... si... intemporelle que...
Se levant brusquement, Monsieur le Marquis fit le tour du bureau, s’approcha de moi qui m’inclinais devant Lui en une révérence digne de celle faite à un Roi... Maître me tendis la main que je pris et baisa avec dévotion. J’étais en révérence encore quand il écarta très doucement le voile masquant en partie mon visage, effleura mes joues, comme pour se prouver que ce qu’il regardait était bien réel...
- Mon dieu ! dit-il, Ma petite chienne, ma très chère petite chienne, que tu es belle ainsi… tu es... à ravir et digne de paraître à la Cour du Roi. Mais qui a eu l’idée de cette parure et en vertu de quoi ?
A cet instant, Walter intervint et dit :
- Monsieur le Marquis, me permettez-vous une faveur ?
- Une faveur, Walter ? reprit le Maître étonné, et pourquoi donc une faveur mon bon Walter ?
- S’il vous plait !
- Accordé !
Celui-ci ouvrit la porte en grand, les deux battants largement ouverts et le Maître fit face à :
- Bon anniversaire, Maître, reprit en chœur par des dizaines de mâles et femelles accompagnés et encadrés par les dresseurs équipés de cravache. - Bon anniversaire, Maître chantaient les esclaves et le personnel du Château.
Pendant une seconde, le Maître accusa le coup ne s’attendant nullement à cela, puis il se reprit ...
... rapidement, visiblement ému de l’attention que lui portait tout le personnel du Domaine, tant administratif, que celui de la maisonnée et les esclaves et soumises (s). Il remercia chaleureusement l’ensemble des participants, exprimant une considération sincère à chacune et chacun par des poignées de mains envers le personnel et de tendres caresses envers les dominés. Il expliqua qu’il avait fort à faire pour l’instant et donc qu’il marquerait son anniversaire le soir même au Château et que tous étaient conviés à marquer cet évènement. Mais que pour l’heure, il fallait le laisser à ses occupations. Alors tous sortirent et le Majordome referma les portes. Le Maître était toujours en admiration devant ma personne, tournant autour de moi, pendant un moment qui parut long au point que mes yeux demandaient à Walter quoi faire, mais celui-ci me répondait qu’il ne savait pas en me regardant d’un regard interrogatif. Brusquement, le Noble se reprit, comme sortant d’un sommeil, à moins que ce ne fût d’un étourdissement causé par le choc de mon entrée. Il toussota, se dirigea vers son bureau, et debout, dit d’un ton décidé :
- Il est 10h30, je vais recevoir mon ami le Comte qui doit m’entretenir de la visite que je lui ai octroyée auprès de ma petite chienne. Veuillez tous les deux à aller là, à côté dans l’antichambre et rester à ma disposition pendant la visite de Monsieur le Comte de Beusgley. Walter, tu m’as bien relaté dans les détails l’incident ?
- Absolument Monsieur le Marquis, ...