1. Accueil des nantis 3 orgies nocturnes


    Datte: 26/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... nuits parisiennes. Cela vaut peut-être mieux
    
    - « Lili, tu dors trop bien. Je dois prendre mon train, excuse-moi. » Je lui laisse un mot neutre.
    
    Hum, « excuse-moi » … de partir ? D’avoir assisté à ton travail de nuit, d’avoir laissé libre cours à tes instincts. D’avoir fait semblant de ne rien voir ou savoir. D’avoir cru qu’une promesse de mariage pourrait stopper le vent de folie, tes envies de luxure, te délivrer de la soumission à Henri, ou de la réduction en esclavage par le fils. Excuse-moi, un peu de toute ma propre misère et de mon désespoir de te perdre.
    
    Il me reste un coup à jouer. Cruel, honteux pour certains ! Je jouerai le tout pour le tout. Ce sera à quitte ou double, la roulette russe. Je rentre chez nous, je prends rendez-vous chez Marie Gérard. Je lui offre un petit album de photos. Du gratiné. De la pornographie familiale. Je ne connais pas le passé de cette Marie. Même si elle a fait pire, la crainte d’un étalage public de ce linge sale la contraint à réagir.
    
    J’assiste au tsunami annoncé par cette grande bourgeoise : Les acteurs, Henri, Benjamin, Félicien débarqués ou mis au placard. Lili la garce responsable de tous les maux sera licenciée sans indemnité, sur le champ, le lendemain soir à son retour. Elle sera roulée dans la boue par Henri et son fils, accusée d’être l’instigatrice de cette débauche, jugée coupable d’organiser des orgies, de falsifier les notes de frais au détriment de la société et à l’insu d’Henri.
    
    - Bonsoir, lâcheur. Si tu ...
    ... savais ! Mais tu sais ? Les photos c’est toi ! Une fois ce chantage ne t’a pas suffit. Je te rendrais ta bague, on me l’a volée. Tu es pire que les autres.
    
    Elle a fait couper ses cheveux à la garçonne. Elle est blanche, titube de fatigue, abattue de désespoir. Elle s’effondre en pleurs, injurie la liberté et mes idées stupides de choix. Elle est prise de rage, arrache ses vêtements, étale les pinçons, les suçons.
    
    - Regarde, je n‘ai plus de poils, je suis souillée
    
    - J‘ai vu hier matin quand j‘ai essayé de te réveiller.
    
    - Tiens ton résultat. Je n’ai plus qu’à aller au resto du sexe. On ne veut plus de moi ailleurs, à cause de toi, lâche, délateur. Ah ! Tu t’es bien vengé en me dénonçant. Tu m’as fichu à terre, tu peux te réjouir. Ton piège du mariage a fonctionné. Tu t’es délivré de moi. Avoue, tu savais pour la chambre 107, tu m’as prise pour une idiote. Comment as-tu pris ces damnées photos ?
    
    - Code 1066.
    
    - La réceptionniste stupide, hein ? Tu la connaissais ? Je m’en fous. La vieille veut que je quitte ce logement de fonction. Chômeuse, sdf, et dégueulasse à voir. Chassée, traitée de putain par le père et par le fils. Déshonorée. Merci, André. Robert sera content de me voir.
    
    - Sa femme et ses enfants t’attendent.
    
    - Salaud, ça te fait rire, tu as encore le courage d’ironiser. Pourquoi ta haine ? Cette fois, tu me donnes le choix entre le lac et la corde, entre la noyade et la pendaison. Tu es un sacré philosophe. « Mon mari, » j’ai rêvé. Tu triomphes. ...
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