Accueil des nantis 3 orgies nocturnes
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... gémissements de femme possédée, comblée. Ils bougent encore sans se soucier de moi. Les salauds la possèdent en sandwich sur la moquette de ma chambre, à moins d’un mètre du lit.
Personne ne parle, les trois halètent, les grognements durent longtemps, augmentent, s’éteignent. Deux ombres se lèvent, sortent, tirent la porte. J’allume ma lampe de chevet. Lili, nue, gît à terre à côté d’un tas de linge. Elle ne bouge pas mais gémit, un poing dans la bouche. Elle se met à ronfler doucement. J’attends, silencieux. Je la ramasse, je la couche et je jette le drap sur elle. Elle se tourne vers moi, me souffle dans le nez son haleine chargée. De son corps se répandent des remugles de sperme, de vinasse et de vomissure. Épuisé par les émotions de cette nuit folle, je sombre dans le sommeil.
La lumière du jour passe entre les lames des persiennes, me réveille. Sur mon torse repose la tête, un bras et un sein de Lili. Elle est attendrissante dans cette pose. Elle dort profondément. Je la retourne sur le dos. Elle dort. Le drap foulé aux pieds laisse apparaître le corps nu. Le pubis dénudé, les seins couverts de suçons énormes anciens et récents, le cou marqué çà et là pareillement, les cuisses pleines de bleus. L’estomac, toutes les parties de son corps sont parsemées de tâches blanchâtres de sperme séché.
Les cheveux sont collés ensemble en grosses mèches raidies par le sperme. Il lui manque les faux cils de l’œil gauche. Elle fait pitié à voir. L’avaient-ils amochée à ce ...
... point il y a quinze jours ? Vraisemblablement. Henri l’a livrée, humiliée et ils l’ont fait jouir. Elle est allée chez lui librement. Elle avait l’expérience des fois précédentes. La réceptionniste m’avait averti, ce soir n’était pas une première.
Le pantin sale et malodorant couché, agité de rêves pervers, n’a pas été surpris. Lili une fois de plus a choisi parfaitement consciente, de se rendre « au travail », de livrer son corps. Par faiblesse, par veulerie ou par vice ? A-t-elle cédé au besoin d’être prise, pourfendue par plusieurs verges, auquel je l’avais initiée, coincée cette fois là entre Henri et Robert ? Suis-je assez innocent pour lui jeter la première pierre ? Je n’ai pas su la protéger.
Ma soif de connaître ses limites m’a conduit à l’abandonner à des puissants malfaisants. Je lui ai laissé trop de liberté. Si je l’avais mise en garde hier, serait-elle cette loque peu appétissante, cette femme ivre baisée sous mon nez, dans ma chambre, actuellement sourde aux bruits de mon lever, de ma toilette. Ils sont écœurants, mais elle a consenti. Défendre, ou respecter la liberté, je n’ai pas su gérer. Mais elle, demandée en mariage, m’a trahi aussitôt, elle a même signé la mutation qui l'éloignera et la libérera de moi.
Catastrophe, naufrage. Je plie bagage. Je ne réussis pas à la réveiller. Qu’a-t-elle fait de la bague de fiançailles ? Je suis soulagé de ne pas avoir à lui parler. Parler pour dire quoi ? Elle croira que j’ignore tout de cette nuit et de toutes ses ...