1. Accueil des nantis 3 orgies nocturnes


    Datte: 26/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... femme. Je vois ses fesses, il clôt le bec de Lili avec sa queue revenue à des dimensions convenables. Benji se positionne pieds à l’extérieur et pointe son pic vers la chatte entrouverte. Il se baisse, le sexe de Lili disparaît pendant quelques secondes. Elle gémit. Les fesses de Benji se meuvent. Je peux photographier les apparitions rythmées des bites et des trous de Lili. De façon continue elle souligne les pénétrations d’exclamations diverses où dominent les oui, encore, oui.
    
    - Tu n’invoques plus André, c’est trop bon. Si tu signes ce sera tous les jours aussi bon. Alors tu signes?
    
    - Je voudrais autrement.
    
    - Explique.
    
    - Toi dessous, moi sur toi, Félicien sur moi dans mon petit. C’est meilleur.
    
    - Et après tu signeras, juré.
    
    - Promis juré
    
    - On change.
    
    -Le groupe se reforme, les mêmes dans les mêmes grottes. Henri doit faire demi-tour. Il offre son visage pour la photo et par chance Lili se tourne vers Félicien et le guide vers sa petite étoile. Pour s’ouvrir la voie Félicien empoigne les fesses à pleines mains, pouces proches de la raie, les autres doigts enfoncés en tenaille dans le gras et il tire vers l’extérieur. Il pousse un cri de rage et de soulagement au passage du sphincter :
    
    - Ouf, j’y suis, son trou s’assouplit progressivement. Tu pourras y aller toi aussi avec ton calibre extra.
    
    Je te la prépare.
    
    Le manège mis en place, l’agitation reprend, les bruits liquides se mêlent aux éructations, aux gémissements. Ça bouge, ça sue, ça ...
    ... appelle. Benjamin dit que ça vient. Félicien s’arrache des fesses et crache sa sauce blanche sur le dos. Les autres jouissent avec des han, des hon. Le sexe de Lili est découvert et bave sa mousse blanche, gluante. Une dernière photo et je me retire. Au lit.
    
    Plus tard, la porte s’ouvre, le faisceau de la torche éclaire le sol. Un souffle alcoolisé passe sur mon visage. Quelqu’un murmure :
    
    - Alors, Lili ?
    
    - Quelle chance, il dort.
    
    - Je te l’ai dit. Reviens avec nous. Je peux encore.
    
    - Moi aussi, j’ai encore envie, viens
    
    - Non, j’ai signé, foutez-moi la paix. Gardez-en pour demain.
    
    Succède un bruit sourd de lutte, de chute en direction de la porte. Suivent des protestations ou des acquiescements étouffés, indistincts. J’ouvre un œil. Un filet de lumière passe entre l‘huisserie et la porte mal fermée. Un amas de corps s’agite à terre, tourné vers la sortie. Au plus près des jambes s’enlacent comme des lianes. Lili fait ha, puis ho. Je peux ouvrir mes deux yeux. Si je dormais vraiment, le gargouillis d’une pine dans la gorge de Lili me réveillerait. Ils agissent sous l’influence de l’alcool ingurgité. Lili est maintenue par l’un, défoncée par l’autre. Ils la retournent et quelqu’un souffle :
    
    - Dans le cul !
    
    Le gargouillis guttural reprend, le bouchon est différent, les sons restent identiques. Une grande inspiration indique le retrait accidentel du pénis. Si Lili criait au secours je me lèverais. Trop saoule ou trop contente, elle ne m’alerte pas, émet des ...
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