Accueil des nantis 3 orgies nocturnes
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... se dégage. Lili pleurniche
- Laissez-moi partir. André ne voudra plus m’épouser.
- Tant mieux pour lui et tant pis pour toi. On lui épargne une erreur. Tu en trouveras un autre.
- Toi ? Tu divorces?
- Je suis marié. Si j’étais célibataire je te fuirais.
- Pourquoi, je ne te plais plus ? Pourquoi tu me baises alors ?
- Il y a les putains qu’on baise et les filles qu’on épouse. Ce ne sont pas les mêmes, ma petite pute.
- Hé ! Oui approuve l’autre. Tu es bonne à baiser, c’est tout. Benji, on change?
- Oui, viens ici, Ta queue est moins épaisse. Prépare son cul avec tes doigts et encule-la Je lui tiens les bras, il ne faudrait pas la faire tomber. Marie suce-moi, lèche tes sucs. Alors, André a vu tes suçons?
- Cachés.
- Bravo ma poule. Il n’y en avait pas assez, je recommence.
- Non, pitié. Il se fâchera. Tu es salaud, arrête, pas dans le cou.
- Sur le ventre ? Ne gigote pas. Tiens, bouge plus !
Il la gifle en aller retour puis tire les cheveux.
-Ah! Non ! Mon cul ! Va doucement Félicien, ne fais pas la brute. Oui, c’est bon. Tu finis ?
Dans mon dos Henri demande qui a crié.
- Ta salope.
- Quoi, il est quelle heure. Elle est encore là. Vous allez m’attirer des emmerdes avec son con de Jules.
C’est un fichu rusé. Vous auriez pu attendre demain pour vous l’envoyer.
- André, pas Jules. Je l’aime. Dégoise la fille saoule.
- Ferme ça et bois une gorgée pour t’éclaircir la voix. Ordonne Benji.
Je suis derrière le rideau. ...
... Henri passe devant moi et se dirige vers l’autre côté du lit.
-Ne t’en fais pas, père. André son futur dort. On est allé le regarder. Il n’y a plus d’homme, elle t’a obéi et l'a foutu à plat. Bonne petite salope, obéissante, soumise et pleine d'astuce pour vider un mâle. Elle sait pomper.
- Moi aussi j’ai dormi, elle m'a usé. Je suis réveillé. Faites vite pour cette nuit
- Laissez-moi aller.
- Tu signes ta mutation à Paris et ils te lâchent.
- Jamais. Je veux rester avec André.
Je traduis son langage inarticulé, haché de renvois, de hoquets. Benjamin s’acharne.
- Allez, hop sur le lit. Félicien tu l’embroches. Je laisse descendre. Pa, ferme-lui la bouche avec ton machin. Marie bouge ton cul, tu montes, tu descends, tu montes, tu descends. Ça va, tu aimes le manège ?
- Ça va. Tu viens dessus, dans mon con ?
- J’arrive. Tu as bien fait de m’écouter, tu es bien plus belle sans ta barbichette.
- Oui, mais André. Il ne sera pas content, je le sais.
- Ça ne le regarde pas. C’est ton corps, tu en fais ce que tu veux. Envoie-le au diable. Le plus simple, tu signes et tu ne le verras plus : lui là-bas, toi ici. T’inquiète pas, on te baisera chaque fois qu'on montera à Paris. Tu es prête?
Je sors mon nez et vois le tableau. Félicien est couché sur le dos. Lili également, plantée sur la tige qui lui perce les fesses, mais ses épaules ont quitté l’axe, son côté gauche passe en partie sur le matelas. Le dos poilu d’Henri vient cacher le visage de ma ...