1. Gwendoline, le loup-garou et moi (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... étant vraiment plus longue, elle me frappa violemment au fond du trou. Mon cri, bref, fut couvert par celui, plus long, de Gwen dont les chairs se déchiraient d’un coup pour laisser passer le braquemart japonais.
    
    Au bout de dix minutes, nous étions déjà exténués, la chatte en feu, le cul en compote, l’arrière-train couvert de présperme. A cette cadence, on n’attend pas l’orgasme bien longtemps.
    
    Pour nous permettre de reprendre un peu, nous eûmes droit à une bonne fellation, laissée à notre propre rythme. Là aussi nous passâmes d’un sexe à l’autre. Il était impossible d’aller plus loin que le gland du japonais, encore n’entrait-il pas en entier. Alors que son extrémité emplissait bien ma bouche, il éjacula. Je me reculai par réflexe dès les premiers tirs, la bouche déjà pleine de foutre. Les jets suivants finirent sur mes paupières, mon front, mes seins. Je pense qu’il devait découiller comme quatre mecs, voire cinq. Je n’avais jamais vu autant de jute d’un coup et je me désolai in petto de le voir déjà vide. Il saisit ma pensée et me rassura en me certifiant qu’il recommencerait quand je voudrais.... Il se rechargeait sans problème... Il avait une recette pour rendre le sperme goûteux et abondant...et même, il me fit une proposition. Si je voulais, il viendrait chez moi, dans les prochains jours pour me bourrer... dans sa forme humaine normale.
    
    — En taille humaine, je ne suis pas très grand, dit-il, mais mon sexe a la même longueur même s’il est moins épais....
    
    — ...
    ... Oui... pourquoi pas...
    
    — Je ne reste pas longtemps en France....
    
    — Mais Maxime, il ne veut pas se montrer... sous sa forme humaine.
    
    — Il est méfiant. Il a peur d’être reconnu après. C’est important pour nous l’anonymat. Hors métamorphose, nous sommes très vulnérables... mais moi qui suis japonais, c’est moins grave...
    
    — Oui... en effet... Il faudrait que je te laisse mon adresse...
    
    — Je l’ai...
    
    — Tu l’as ?
    
    — Je l’ai lue dans ta tête...
    
    — Ah oui...C’est embêtant ça... Au fait tu ne nous as pas dit comment tu peux me parler.
    
    — Eh les amoureux, on baise d’abord.. on voit après...intervint Maxime.
    
    — OK, OK...
    
    — Aller, dans le cul, là, dans le cul, pétez-moi le cul les garçons ! Gwendoline s’excitait.
    
    — C’est parti ma chérie. Amène ton croupion, dit Maxime qui pissait blanc à petites gouttes.
    
    — Toi aussi Liline (c’est parfois comme cela que Gwen me surnomme).
    
    — Tu es folle ! Je suis moins habituée que toi au plaisir anal... et ça rentrera jamais de toute façon.
    
    — Elle a raison dit Maxime. Vu le diamètre du truc, ça va pas rentrer...même ma bite, elle aura du mal.
    
    — N’empêche dit Ita. J’essaie.
    
    Je me retrouvai donc sur le dos. De très vigoureux coups de langue me préparèrent l’anus tout en me réchauffant la raie et me propulsant en orbite orgasmique. Je ramassai tout le sperme que je pus sur mes seins (mais il avait déjà commencé à coaguler) et sur l’extrémité des deux bites qui gouttaient régulièrement. Je m’en introduisis le plus ...
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