1. Gwendoline, le loup-garou et moi (3)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Le plan de Gwendoline était simple et compliqué à la fois.
    
    Il s’agissait de trouver un site de rencontres de cul, voire un site zoophile, et d’y trouver la première venue.
    
    Mais, et c’est là que les choses se compliquaient un peu, comment rédiger l’annonce ?
    
    "Cherche jeune pucelle pour se faire démonter par un loup-garou" ?
    
    Non, ça ne marcherait pas, évidemment.
    
    Nous cherchâmes donc une annonce plus neutre. Sur les sites de rencontres, nous écrivîmes : "recherche femme vierge pour rencontre très spéciale". Il y eut quelque réponses mais dès que nous abordions la question du partenaire animal, on coupait court, quand on ne traitait pas carrément Gwendo de folle, de dégénérée ou de dépravée.
    
    Sur le site zoophile, l’annonce était plus claire : "Cherche vierge pour se faire démonter par un énorme toutou à grosse bite".
    
    Les réponses furent plus nombreuses, y compris d’hommes mais aucune femme n’était vierge.
    
    L’idée, quand nous aurions trouvé la fameuse pucelle était de lui dire que nous la ferions se faire déflorer "à l’aveugle" par le propriétaire du chien avant que le chien ne la monte.
    
    Après, grâce à ses dons de télépathie, Maxime lui expliquerait et on lui enlèverait le bandeau.
    
    Pour être tout à fait honnête, je n’y croyais pas trop.
    
    Quant à la surprise que nous avait annoncée Maxime, j’avais une petite idée...
    
    De mon côté, comme convenu, j’avais loué un gîte, à une adresse isolée que Maxime m’avait indiquée, pour la prochaine pleine ...
    ... lune.
    
    La date approchait et nous n’avions toujours pas trouvé la fille.
    
    Gwendoline désespérait, à tel point qu’elle ne voulait même pas se rendre à l’invitation de Maxime, tellement elle avait honte de s’être montrée aussi sûre et d’avoir échoué.
    
    Je la consolai et lui promis que ce serait pour la prochaine fois.
    
    Jusqu’à une heure de notre départ, elle espéra encore trouver notre compagne de jeu, mais elle fit chou blanc.
    
    Le trajet fut morose. Elle avait tant espéré que, dès ce soir, Maxime pourrait se transformer à sa guise, les jours où il le voudrait, et qu’elle pourrait bientôt se mettre en ménage avec cet être exceptionnel. Je tâchai de la consoler en lui disant que Maxime ne nous en voudrait pas et que l’on remettrait cela au(x) mois suivant(s) (au pluriel car je n’étais pas convaincu d’y arriver de sitôt).
    
    Il faisait déjà nuit noire quand nous arrivâmes au gîte. Nous installâmes le salon pour baiser au sol. Nous avions amené des futons pour plus de confort. Il faisait frais. J’allumai un feu dans la cheminée. Nous n’avions plus qu’à attendre.
    
    — Putain j’ai même pas été capable de lui trouver une vierge et lui, il vient avec une surprise! J’ai l’air de quoi ?
    
    — Mais laisse tomber à la fin ! Tu es lourde. Il est cool Maxime. Il ne t’en voudra pas.
    
    — Oui... oui, tu as sans doute raison... Et d’après toi, c’est quoi sa surprise ?
    
    — Oh ben, après les loups, il va nous ramener un chien... Et qui sait, un bon toutou que l’on pourra garder....
    
    — Ah, tu ...
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