Gwendoline, le loup-garou et moi (3)
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... vous en avez une essayez ! Là, vous y êtes ? Impossible, on est bien d’accord. Notez que le gland étant un peu moins large, j’arrivai à m’en boucher un coin avec lui... et c’était le pied. Il était lice, doux, ferme et délicieux. Un véritable sucre d’orge. Pour le reste, obligée de lécher. Je n’ai pas la mâchoire extensible.
Pour les autres trous, ça peut pas être pire qu’un accouchement... à l’envers. Au moins au départ. Donc, après m’avoir lubrifié la chatte avec sa langue qu’il agita au plus profond, une langue épaisse longue, chaude, rapeuse à souhait et étonnamment mobile, il commença à me pénétrer.
Il y eut résistance car, quand même, le rondin était de taille.
Je lui demandai donc de s’allonger, pour venir m’empaler sur son membre et ainsi contrôler moi- même la pénétration et m’y adapter en douceur. Ainsi je pouvais profiter du spectacle de Gwendoline, montée en levrette par Maxime. La taille du géant rendait ma copine presque frêle. Les muscles tout entiers paraissaient obéir au mouvement du sexe qui allait et venait à toute vitesse et trémulaient en de somptueuses ondulations sur ce corps magnifique. Les grosses pattes s’étaient refermées sur les gros seins qui en paraissaient finalement trop petits pour de telles pinces. A chaque coup de pompe qui lui rentrait dans la chatte, un peu de liquide jaillissait en minuscules éclaboussures. Elles formaient une sorte de rosée qui peu à peu s’accrochait aux poils des cuisses solidement campées au sol.
Gwen ...
... gémissait comme une folle et Maxime émettait une sorte de grognement de dogue qui, n’eût été la situation où l’on se trouvait la gentillesse dont le savions capable, nous aurait fait fuir à grandes enjambées ou mourir sur place de frayeur.
Tout en jouissant du spectacle plus au figuré qu’au propre... du moins pour le moment, je m’enfonçai petit à petit sur mon mâle. Déjà le gland était passé ce qui représentait en soi déjà de quoi bien s’amuser, et petit à petit en montant et descendant, je gagnais les centimètres qui me rapprochaient de la base. J’y étais presque lorsque étant totalement remontée, Ita m’appuyant fortement sur les épaules, m’obligea à redescendre d’un coup sec et brutal, jusqu’aux couilles. Je sentis l’échauffement que cette pression avait exercé sur mes parois mais comme j’étais quasiment prête je n’en ressentis qu’une très légère douleur, due sans doute plus à la surprise qu’au contact avec la verge entière.
Je n’eus plus rien à faire. La force colossale du monstre lui permettait, en m’ayant saisie par la taille de me faire aller et venir sur sa colonne comme il l’entendait. C’était assez fatigant pour moi, écrasée entre ses pattes puissantes.
Je n’eus même pas besoin de m’en plaindre. Quand il eût compris ce qui se passait dans ma tête, il me posa à terre, en me retournant pour me faire comprendre que je devais me placer parallèlement à Gwen, cul contre cul, de sorte qu’ils nous prirent en levrette en alternant. Au premier changement, la bite de Max ...