1. Jonas


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral pénétratio, hdanus, init, mélo, nostalgie, portrait, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... Si t’es capable de photographier ça joliment, Jonas, sans vulgarité, avec la bonne lumière, le geste juste, l’expression qu’il faut, peu importe que ce soit pour un foutu dépliant, tu seras capable ensuite de gérer n’importe quelle photo glamour pour une vitrine de grand couturier. Crois-moi. Et puis l’atmosphère de travail est moins toxique. Les filles sont chouettes, sympa, elles se la pètent pas. Ce serait presque familial, s’il n’y avait pas mon tempérament sanguin qui prenait le pas quand je suis sur une prise de vue commerciale. Je sais pas pourquoi, c’est sans doute venu de ma période dorée, faire régner la terreur comme une défense face aux connards, aux entourages, aux inutiles, aux courtisans. M’isoler de tout ça en gueulant pour me concentrer sur l’image. L’image aussi parfaite que possible. »
    
    Robert disait vrai. Les sessions photo de lingerie se déroulaient dans une atmosphère bon enfant, que les colères de Robert n’arrivaient pas à perturber. Les filles s’étaient prises de béguin pour moi, et s’amusaient à me frôler dès qu’elles étaient nues entre deux photos. J’avais la trique en permanence, mais mettais un point d’honneur à paraître impassible. Je n’en ai d’ailleurs jamais baisé aucune, le jeu était finalement assez innocent, et je voyais bien que Robert, tout en feignant de ne pas s’en apercevoir, affichait parfois un léger sourire amusé. Je ne pense pas en revanche qu’il ait jamais su qu’un jour, alors que je rangeais le plateau après le départ de ...
    ... l’équipe, Cléo, la maquilleuse, s’approcha pour me dire elle aussi au revoir, puis se mit à rire en soupçonnant une raideur sous mon jean un peu trop serré. Alors qu’elle me collait un bisou, je sentis sa main s’aventurer sous ma chemise, puis adroitement dégager la boucle de ma ceinture.
    
    — Je ne peux pas te laisser dans cet état. Tu vas voir, je n’ai pas mon pareil pour arranger tout ce qui dépasse.
    
    Mon pantalon avait glissé sur mes genoux, sa main s’était faufilée dans mon caleçon, où elle avait fermement empoigné ma queue. Elle fit descendre lentement le sous-vêtement avec ses dents, par à-coups. Je bredouillais des mots d’excuse qui la faisaient rire. Elle lâcha mon sexe pour mieux l’observer, se mit à me fouiller l’entrejambe de coups de langue experts, en ne s’interrompant que pour assaisonner le traitement de commentaires élogieux.
    
    — Tu es vraiment un beau garçon, Jonas. Très doux, mais aussi très excitant. J’adore ton odeur. Ta queue est si belle, sa peau est fine, elle palpite sous mes doigts.
    
    Sa main soupesa mes couilles, pendant qu’elle léchait mon sexe tout du long.
    
    — Merveilleusement tendre et splendidement viril, ce jeune homme est une perfection… Attends que j’achève de te retrousser le prépuce. Regarde ce gland joufflu… Un joli fruit que j’espère bien juteux.
    
    Elle m’entreprit avec la langue, tout en branlant fermement mon dard. Elle ne tarda pas à le gober et à me sucer avec conviction. Ses mains s’activaient tout autant, parcourant ma géographie ...
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