Le thermomètre (la suite).
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... Avec un tel traitement je n’ai pas mis longtemps à lui offrir ma faveur.
Avant de partir elle a insisté pour revenir le lendemain.
- Ah non cela ne sera pas possible.
- Et pourquoi ?
- Demain Cathy ne travaille pas.
- Merde, la tuile !
- Oui, comme tu dis…
- Alors je t’attends à la maison.
- Mais c’est que…
- A demain, et tu n’as pas intérêt de me poser un lapin.
- Sinon ?
- Je te laisse deviner… à demain !
Avant de trouver le sommeil, je me suis imaginé en train de la lécher. Je me suis aussi imaginé l’attacher pour la sodomiser dans son lit conjugal. Et lui affligé par la suite une belle fessée pour la punir.
Le lendemain fidèle au rendez-vous j’ai sonné à sa porte. Qui s’est déverrouillé électriquement. J’ai grimpé les escaliers en béton pour arriver sur la terrasse. Là une voix m’a invité de regarder par la fenêtre. Je l’ai trouvé, allongée, en culotte de dentelle noire et en porte-jarretelles, ses seins hors du soutien-gorge. C’est un spectacle magnifique, un corps de femme, je ne m’en lasserai jamais.
- Viens-vite, je ne tiens plus…
Je bandais comme un damné. J’ai chevauché la fenêtre. Elle m’a fait m’arrêté net tandis qu’elle se caressait. M’observant un instant qui me parut une éternité.
- Déshabille-toi ! M’a-t-elle ordonné.
Je me suis hâté de me défaire de mon pantalon, de mon slip. Son regard s’’est éclairé subitement lorsqu’il s’est posé sur mon pénis fièrement tendu.
- Viens, maintenant ? M’a-t-elle ...
... commandé.
Elle s’est emparé de ma queue pointée vers elle et l’a serré comme pour en vérifier la fermeté. Elle s’est penchée vers elle en ouvrant sa bouche. Je me suis senti littéralement aspiré à l’intérieur.
Comme à chacune de nos rencontres elle m’a fait jouir. Mais alors que je m’apprêtais à prendre congé comme après chaque jouissance, je l’ai vu se cambrer sur le lit, me tendant ses fesses. Et me dire explicitement, avec une lueur de folle au fond des yeux. .
- Touche-moi le cul.
Sans réfléchir, j’ai palpé son derrière rebondi à la peau chaude et douce. J‘ai fait glissé sa culotte, dévoilant la raie de ses fesses. J’ai pétri les fesses que j’avais devant moi, à pleines mains. Toute cette chair élastique me rendait fou. Me prenant par le cou, elle m’a attiré contre elle. Elle a frotté ses tétons aussi durs que ma queue, contre mes lèvres.
- Suce-moi, mon bébé ! Suce bien maman !
J’ai tout de suite eu en bouche le goût fade de ses mamelons. Elle a gémi quand je les ai léchés. Tout est allé très vite, après. Elle m’a poussé à la renverse. Avant que je sache ce qui m’arrivé, je me suis retrouvé allongé de tout mon long sur le lit conjugal. En tête à tête avec son sexe. Sans aucune hésitation, j’ai plongé ma langue dans la fente visqueuse.
J’ai trouvé cet instant vraiment curieux. Si on m’avait dit un jour que je serais attiré par cette femme, je ne l’aurais pas cru.
Au-dessus de moi, Béatrice tremblait de plus en plus. Il m’a semblé même apercevoir les ...