1. Le thermomètre (la suite).


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... étaient gros et épais. Elle les a caressés, sans me lâcher du regard. Les pointes se sont dardées. Une lueur farouche dansait dans son regard. Je me suis levé j’ai baissé mon pantalon, mon slip, lui exhibant ma verge toujours bandé. Et je me suis pompé la queue. Mon regard rivé sur ses mains qui malaxaient sa poitrine. Le souffle court, j’ai lâché ma semence. Qui a aspergé sur ses nichons. Qu‘elle s‘est empressée d‘étaler sur ses seins, comme elle l‘aurait fait avec une pommade.
    
    Mon excitation retombée, il a fallut que je la trompe avec un mensonge élaboré pour m’en débarrasser. Elle avait tout de même assisté pour qu’en ce revoie le lendemain. Ce que j’ai approuvé.
    
    Cette nuit là, mes rêves furent peuplés de sexe poilu. De fesses offertes et odorantes. À mon réveil, j’ai trouvé mon sexe englué dans mes poils par le sperme de mon éjaculation nocturne. Heureusement pour moi Cathy était parti de bonne heure.
    
    Alors que je prenais un café en a toqué à la porte. Pas besoin d’être Devin pour savoir qui se trouvait derrière la porte. D’ailleurs que d’y pensé, j’en avais des démangeaisons au fond de mon slip.
    
    Elle portait ce matin là sous son manteau, une jupe noire portefeuille, et l’éternel chemisier blanc. Sitôt la porte fermée, elle a collé sa bouche sur la mienne. Dans un baiser fougueux. Puis elle m’a attiré jusqu’au divan. Elle a écarté ses cuisses, pour m’étaler une chatte que je classerais dans la catégorie très poilue.
    
    - Elle te plaît ? Je sais que tu les ...
    ... aimes touffue.
    
    - Qui t’a dit cela ?
    
    - Mon petit doigt. A-t-elle rétorqué, en posant une jambe en appui sur l’accoudoir. Délicatement, à l‘aide de ses doigts, elle a déniché son clitoris de son lit, d’un rose un peu plus sombre que sa chair. Plus que jamais, j’avais comme une fourmilière dans le slip.
    
    De son autre main, la coquine a glissé un doigt, puis deux, dans son vagin. Se branlant comme si elle avait été toute seule dans la pièce.
    
    - Tu ne peux pas savoir comment cela me fait de l’effet de faire ça devant toi. J’ai l’impression de vivre un rêve tout éveillé…
    
    - Tu ne préfères pas que je te mette ma queue ?
    
    - Branle toi… veux-tu… cela t’éviteras de dire des conneries !
    
    Et comme la veille, je me suis masturbé. Et comme hier elle a rivé son regard sur ma main qui coulisser le long de ma verge, d’un geste vif et régulier. Mais il était écrit que ce matin là, je n’allais pas jouir comme la veille, par contre.
    
    - Je veux que tu me suce…
    
    - A oui… A-t-elle répondu. Un sourire salace aux lèvres. Je veux que tu me le dises, comment dire ? Plus cochon…
    
    - Salope de Béatrice, je veux que tu me taille une pipe, et pas plus tard que maintenant, aller salope au boulot.
    
    - Dit comme ça ! A-t-elle répliqué en approchant ses lèvres de mon gland, avant de l’absorber. Une sensation des plus particulières m'a envahi. C'était intimement chaud et onctueux. Ses lèvres, épousant parfaitement la circonférence de mon sexe. De sa main libre, elle m’a malaxé les couilles. ...
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