Le thermomètre (la suite).
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Alainylon, Source: Hds
- Cathy est là ? A fait la mère d’Audrey en posant son pied droit sur le carrelage de mon salon, après que je lui ai ouvert la porte.
- Non, elle est…
- Tant mieux, m’a-t-elle coupé, Béatrice. C’est toi que je venais voir.
Elle s’est retirée le manteau, comme elle le faisait à chaque fois qu’elle venait chez moi, avant de prendre place sur une chaise.
- Tu devines peut-être pourquoi je suis là ?
- Non ! Mais je pense que tu vas me le dire.
- Tu as couché avec ma fille Audrey ?
- Non…
- Elle me l’a avoué.
- Alors si elle te la dit, c’est sûrement vrai. Il faut m’excuser, il se trouve que ses derniers temps j’ai des pertes de mémoire.
- Oui ! Fou toi de ma gueule !
Elle portait ce matin là des bas clairs qui gainaient ses jambes leurs donnaient un aspect soyeux. Dans le même temps, ils soulignaient la sensualité des cuisses galbées, à la courbure parfaite, ainsi qu’à ses chevilles merveilleusement fines. Que j’ai fixé un instant avant de remonter mon regard le long des jambes que j’ai estimé être sublime, dont mes rétines se sont délectées.
- Et elle t’a dit cela comme ça, de but en blanc ?
- Elle m’a rien dit, je l’ai lu. Dans son cahier intime.
- Tu n’as pas honte de lire ses secrets.
- Et toi de la sauter.
- Tu sais alors tout ce qui s’est passé ?
- Tout ! Enfin se qui était écrit.
- Et tu voudrais savoir pourquoi j’ai fait ça.
- Si cela ne te dérange pas, oui. D’ailleurs je n’ai pas l’intention de quitter ce lieu sans ...
... avoir entendu ta version.
Alors je me suis lancé dans une explication cohérente. Elle m’a laissé parler sans m’interrompre une seule fois.
- Voilà tu sais tout maintenant. Ai-je lancé à la fin de mon récit. Je peux à mon tour te poser une question ?
- Je t’écoute !
- C’est normal que je ne sente pas chez toi d’irritation.
- Ce qui est fait et fait. Malheureusement je n’ai pas la possibilité de revenir en arrière. Et je me dis que si elle a fait cela c’est qu’elle avait ses raisons.
Tout en discutant, elle a machinalement décroisé les jambes et les a recroisé ingénument dans l’autre sens. Cela eu pour moi un effet inouï, d’autant plus que le mouvement a fait encore un peu plus glissé l’ourlet de sa jupe sur ses cuisses. Exhibant la dentelle du haut de bas, là où étaient fixées les baleines de son porte jarretelle. J’étais comme en plein extase, devant. Et que dire quand mon regard a glissé jusqu’à ses les pieds, à l’érotisme accentué par le nylon clair, dont les renforts châtain recouvraient les orteils saillant du bout ouvert de l’escarpin.
- Je suis heureux que tu le prennes comme ça. Tu sais
Béatrice !
- Tout au moins, j’aimerai savoir si tu as pris ton pied avec mon bébé, dis-moi ?
- Je ne devrais pas le dire, mais oui je te l’avoue, j‘ai pris un pied d‘enfer.
Elle a gigoté sur sa chaise, tout en faisant tanguer ses jambes, ce qui m’a autorisé d’entrevoir une fine petite culotte de dentelle noire. Le spectacle qu’elle m’offrait à son insu, ...