1. Marie


    Datte: 24/01/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, copains, intermast, Oral préservati, pénétratio, fdanus, couple+f, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... gland.
    — C’est doux, souffla-t-elle.
    
    Manon s’était levée, avait contourné le lit pour se retrouver derrière Marie dans le sexe de laquelle elle glissa deux doigts. Un soupir sortit de la bouche de Marie qui me laissa pénétrer plus profondément. Les caresses de Manon se faisant de plus en plus précises, Marie fut bientôt paniquée ; elle ne savait plus ce qu’elle devait faire. Elle me lâcha et, se tournant vers Manon lui demanda :
    
    — Qu’est-ce que je dois faire ?
    — Tu n’as pas envie de le sentir à la place de mes doigts ? lui répondit-elle.
    — Je ne sais plus ce que je veux ou ce que je ne veux pas, vous m’avez prise au piège et je ne sais plus quoi faire. Je crois que j’ai bien envie de connaître ce qu’il te fait connaître mais je suis quand même certaine d’être une vraie gouine. Je ne suis plus vierge parce qu’une copine m’a forcée avec une espèce d’énorme gode dont je garde un très mauvais souvenir.
    — Ça n’a rien à voir, l’encourage Manon.
    — Je ne veux pas qu’il aille jusqu’au bout, tente-t-elle de résister.
    
    Manon se saisit de son sac, en sort un préservatif qu’elle s’empresse de m’enfiler. Elle fait ensuite se lever Marie qui m’enjambe.
    
    — Baisse-toi au rythme que tu veux. Tu contrôleras toi-même la pénétration, la convainc Manon qui s’assoit, me saisit pour me présenter à l’entrée du sexe de Marie dont elle écarte les lèvres.
    
    Et je me sens comme aspiré par ce sexe étroit, serré – il va falloir que je me contrôle ! – au fur et à mesure que descend Marie ...
    ... qui semble trouver cette pénétration très agréable si j’en crois le soupir qu’elle laisse s’échapper de ses lèvres.
    
    — Ouah ! Je me sens remplie, envahie, pleine de quelque chose de chaud, de doux, de gros. Quelle drôle de sensation ! J’avais peur d’être gênée, mais je ne le suis pas. Je n’ai pas dit que je trouvais ça génial, mais ça n’est pas désagréable, avoua-t-elle à Manon lorsqu’elle m’eut totalement absorbé et qu’elle se reposa, assise sur mon bassin.
    — Soulève-toi et redescend, lui conseilla Manon qui, positionnée sur le côté, chercha de son majeur gauche le clitoris de Marie et trouva, du droit, son petit trou.
    
    Le premier entreprit de rouler ce sur quoi il s’était posé, le second, après être allé chercher le lubrifiant nécessaire entre ses lèvres à elle, de forcer cette résistance qu’elle sentit bien faible.
    
    La bouche de Manon et celle de Marie se joignirent en un baiser qui étouffa leurs cris car la main de Marie avait glissé entre les cuisses de Manon et avait trouvé ce que Manon attendait.
    
    Marie fut prise d’une agitation violente, emportée par une jouissance subite et inattendue, et Manon, écartant ses cuisses au maximum jouit sous les caresses de son amante.
    
    Et moi, sur le dos, je vis ces deux superbes filles atteindre le septième ciel.
    
    Lorsque l’orage fut terminé, Marie, qui n’avait pas changé de position, nous dit :
    
    — Vous m’avez bien eue. Je ne sais plus si j’ai joui de sentir Fred planté en moi, ou si j’ai joui des doigts de Manon, surtout ...
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