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La Gestionnaire (8)
Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... cuisses mais laissant libre ton sexe dégoulinant de mouille. Une fermeture bloque tout espoir de te libérer. Je recule pour admirer la soumise que tu es devenue. Je cherche encore dans l’armoire. Je trouve un bandeau de cuir noir. Je te l’applique sur les yeux. Tu ne pourras plus rien voir de ce qui va t’arriver. Je trouve aussi un bâillon boule. Je t’équipe de cet instrument. Docilement tu ouvres la bouche pour faciliter la pose. Tes lèvres rouges épousent la boule noire. Je retourne dans l’armoire. Je cherche et enfin je trouve ce que tu souhaites : des pinces à linge en inox. Elles sont particulièrement fermes. Je reviens vers toi. Je flatte des seins ronds. Tu ne sais pas ce qui t’attend. Tu aimes la caresse mais tu trembles car tu ne sais pas ce que je vais te faire subir. Les pointes sont sensibles et se dressent sous le plaisir. Je saisis ton sein gauche. Je le serre, le pétris. Tu gémis derrière le bâillon. Je suce doucement la pointe de ton sein. Elle est plus tendue encore. Tu te cambres encore plus pour me l’offrir. C’est à cet instant que je prends la pince. Je la serre, l’ouvre le l’approche de la pointe turgescente. Je place la pointe bien au centre les deux mâchoires. Je lâche d’un seul coup la pince. Elle mord la pointe de ton sein. Tu cries sous la boule. Je procède de la même manière pour l’autre sein. Nouveau cri étouffé ! Je te laisse souffler quelques secondes. Tu respires par saccades. Doucement la douleur doit se diffuser dans tes seins. Tu ...
... respires plus calmement. C’est ce moment que je choisis pour te tourmenter de nouveau. Je tapote sur les pinces. De nouveau la douleur doit irradier ta poitrine. Je laisse les pinces bouger. Tu cherches à te libérer de ces instruments de torture. Plus tu t’agites, plus tu fais bouger tes seins, plus les pinces te torturent. Quelques minutes plus tard, je te libère un sein. L’arrivée brutale du sang dans la pointe martyrisée apporte une double sensation. Le plaisir de ne plus avoir mal et la douleur de la reprise de la circulation. Je continue et libère l’autre pointe. Je passe derrière Charlotte. Je défais le bandeau de cuir qui lui obstrue la vue. Elle cligne des yeux. La lumière crue la gêne. Lentement ses yeux s’habituent. Elle me regarde le regard brillant de larmes. Je relâche la ceinture qui maintenait le gode au fond de son ventre. Je récupère le martinet. J’essuie le manche. Je le saisis, je passe derrière elle. Je recommence à la fouetter sur les fesses. Les lanières laissent des traces rouge sombre sur les rondeurs blanches et soyeuses. Je reviens devant elle. Je lui cingle les seins chacun deux fois. Pour finir, je lance les lanières entre ses cuisses largement écartées. Charlotte ne se retient plus. Elle pleure. Des larmes coulent sur ses joues rondes. Le maquillage n’a pas résisté. De larges traînées noires de mascara maculent ses joues. Je laisse Charlotte souffler. Je lui parle : — Tu voulais être une esclave... tu as eu une petite démonstration de ce que ...