1. La Gestionnaire (8)


    Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    La semaine suivante, je suis de retour chez Charlotte. Elle m’attend sagement chez elle. Elle arbore une tenue des plus sages : jupe longue noire fendue jusqu’à la ceinture et un chemisier noir dont le décolleté laisse apparaître la naissance de ses deux seins ronds. Je peux constater qu’elle porte des bas résille maintenus par des jarretelles et que ses seins sont dans une prison de dentelle. Après des embrassades de rigueur chez des amoureux, Charlotte me demande de venir dans le salon. Elle doit me demander quelque chose d’important. Avec elle je m’attends à tout : mariage, vie commune...?
    
    Non bien au contraire, elle me parle de la dernière séance dans l’abri de jardin. Elle a beaucoup apprécié et souhaite recommencer le plus rapidement possible, aujourd’hui si je suis d’accord.
    
    Je veux bien, mais je lui précise que je ne suis pas un adepte du Sadomasochisme à outrance. Je n’ai nullement envie de la faire souffrir et encore moins de la mutiler. Elle est d’accord. Elle m’entraîne alors dans le sous-sol. Juste à côté de la cave, une pièce sert de débarras. Charlotte me tend une clé :
    
    — Je t’offre la clé de la salle des plaisirs...
    
    J’introduis la clé et ouvre la porte. J’allume l’interrupteur. Une salle de torture est installée...
    
    — Comment as-tu pu faire pour installer aussi vite cette salle ?
    
    — Internet...
    
    — Et par qui ? ... l’artisan du coin doit faire des gorges chaudes de ta réputation...
    
    — C’est le vendeur qui l’a installé...
    
    — Il l’a ...
    ... essayé avec toi...
    
    — Non bien sûr, je ne ferai cela qu’avec toi...
    
    Charlotte entre et ferme la porte derrière elle. Elle se place en face de moi au centre de la pièce. Elle défait, un à un les boutons de son chemisier. Les dômes de ses seins apparaissent. Contrairement à ce que je pensais avoir vu, ses seins ne sont pas dans un soutien-gorge. Non, ils reposent sur un berceau de dentelle. Charlotte retire lentement le chemisier pour garantir un effet. C’est un serre-taille qui présente ses seins. Un clip et la jupe tombent au sol. Elle se penche, ramasse le petit tas de vêtements et les jette dans le coin de la pièce. Elle est là, nue, hormis son serre-taille qui avec de grandes jarretelles tendent les bas résille. Elle porte les chaussures hautes de nos premiers achats. Elle porte aussi fièrement le large collier de cuir noir. La laisse métallique pend à l’anneau. Charlotte pivote sur elle-même:
    
    — Votre esclave vous plaît-elle cher Maître ??
    
    — Vous êtes ravissante...
    
    — Dans le placard sur le côté vous trouverez les outils nécessaires à mon éducation... je suis à votre disposition... j’ai beaucoup à me faire pardonner...
    
    Je vais vers le placard. A l’intérieur, des menottes, des pinces, des cordes, des martinets, des cravaches, les fouets, des bâillons, des bandeaux, bref tout un arsenal digne du divin Marquis...
    
    — Tu souhaites que j’utilise tous ces instruments ?...
    
    — Ils sont à pour cela ...
    
    — Tu n’as pas peur ? ...
    
    — Non, pas avec toi... ...
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