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La Gestionnaire (8)
Datte: 22/01/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... premier coup de martinet vient de s’abattre au travers de tes fesses. Tu sursautes, surprise. La douleur est faible. Je n’ai pas frappé fort. — Ne bouge pas et écarte plus tes pieds... J’accompagne mon ordre d’un second coup sec sur la face interne de ta cuisse gauche. J’ai frappé plus fort. Je n’ai pas retenu mon geste. La contraction de ton corps me fait comprendre que tu ne t’attendais pas à cela. Tu obéis et ouvres davantage le compas de tes cuisses. — Cambre-toi mieux... Tu inclines le buste en avant, au maximum que le permet les liens qui te maintiennent les bras attachés à la poutre. Excédé, je t’attrape par le collier en cuir et tu m’obliges à baisser davantage la tête. Tu me présentes ton gros cul bien ouvert. Tes cheveux longs tombent devant ton visage. Tes seins pendent. La position dans laquelle tu es est obscène dans cette position. Malgré tout, tu es tout excitée. Ton ventre se liquéfie. Un flot de mouille s’échappe et ruisselle le long de tes cuisses. — Espèce de petite salope, écarte tes fesses... plus vite ! J’accompagne mon ordre d’un nouveau coup de martinet sur le gras de tes fesses. Tu cries cette fois... Les mains entravées par les menottes, tu écartes de ton mieux tes jolies fesses. Du bout du manche, je dessine les contours de ton cul. Il semble que tu veux le faire entrer. Je vois que ton cul se décontracte. Tu relâches le muscle de ton anus. Cela m’excite beaucoup. Je pousse le bout arrondi sur l’anneau froissé. Toi aussi, tu ...
... pousses. Ton sphincter finit par céder sans réelle difficulté. Je vois que tu as fini par aimer la sodomie. Le bout est absorbé. La rondelle de l’anus se referme sur le manche et l’emprisonne. Je l’agite en toi... Tu ondules de la croupe comme une jument en chaleur pour me montrer ta satisfaction. Les mouvements de va-et-vient du gode improvisé commencent à produire leur effet. Je pousse encore plus pour l’enfoncer plus loin, plus profond dans ton anus. Tu réponds à cette intromission. Tu pousses sur ton cul. Je force le passage étroit de ton anneau plissé. Tu plantes tes dents dans ta lèvre inférieure. Je suis sûr que tu as mal mais tu ne veux pas l’avouer. Tu supportes la douleur. Avant de me connaître, tu n’avais jamais envisagé une seule seconde de te faire sodomiser. Cette pratique était réservée à des femmes de mauvaise vie... toute mon éducation refoulait cette pensée. Cette pratique était sale. Je pousse à fond. Il ne reste plus que les lanières qui pendent à l’extérieur de ton anus distendu. Je passe devant toi. Je plaque ma main contre ton pubis. Groupant mes deux doigts, sans aucune douceur, je les plante dans ton sexe. Ton corps a une reculade. Tu es surprise par la violence de la pénétration. Je retire d’un coup sec les doigts inquisiteurs. Tu geins. Je retourne à l’armoire. Je prends une lanière de cuir noir. Je te la passe dans le dos. Fine, elle descend entre tes fesses empêchant le gode de sortir de ton cul. Elle se partage ensuite en deux, filant entre les ...