Candide candaulisme
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
couplus,
cocus,
intermast,
pénétratio,
couple+h,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... ça t’excite, petit salaud ! T’as pas honte de me donner comme ça à d’autres hommes ? Que je fasse la pute pour tes fantasmes ?
— Et alors ? T’es pas en train de prendre ton pied ?
— Oh si ! J’adore cette queue qui me défonce la chatte sous tes yeux ! J’adore, j’adore, j’adore ! !
Elle commence à gémir, à se tordre, se laissant aller, cherchant son plaisir, sans se soucier de la situation, en belle garce qu’elle est à présent. Soudain elle explose, elle jouit dans une grande bestialité, tel un petit animal de plaisir, primitivement, criant son bien-être, son ravissement, son transport vers des terres inconnues pleines de promesses.
C’est alors que Thomas jouit à son tour, éjaculant sur le visage tendu de sa femme, déchargeant de longues salves de foutre, comme s’il se vidait de mois et de mois de retenue. Lui aussi se laisse complètement aller, indifférent au reste du monde, souillant le visage de sa femme de traînées blanches qui dégoulinent visqueusement sur sa figure pour venir s’écraser ensuite au sol.
Je ralentis, préférant bien ressentir les ondulations de plaisir de Liliane sur ma verge en feu. Elle ne simule pas, ses contractions sont incontestables. Petit à petit, ils s’apaisent tous les deux. C’est elle qui brise le silence :
— T’es un sacré salaud, tu sais ? Tu m’en as foutu plein le visage !
— Et toi, tu es une sacrée salope !
Et ils s’embrassent à pleine bouche, voracement.
Une communion parfaite entre Liliane et Thomas. Elle s’est éclatée ...
... comme une folle à exciter son mari, tout prenant elle-même beaucoup de plaisir, sans se retenir ni se freiner. Et lui, il est excité à mort par l’indécence de sa dévergondée de femme. Les regards qu’ils s’adressent valent largement des longs discours. Elle lui a offert des moments d’elle sans lui, tout en partage, en symbiose.
Dévergondée, libertine, coquine, méconnaissable, une autre femme, une autre facette. Je pense que ce couple en ressortira plus solide, uni, voire fusionnel, par cette expérience adultérine, dont j’ai été le catalyseur.
Un peu plus tard, nous nous remettons de nos émotions. Enlacée contre son mari, Liliane s’exprime la première, s’adressant à moi :
— Merci beaucoup, Christian. C’est grâce à toi que nous avons réussi. Tu as su trouver la bonne façon…
— Oui, pour une première, ce fut… enfin… ce fut incroyable ! Je n’en reviens pas que ma femme se soit lâchée comme ça !
Toujours serrée contre son mari, Liliane rougit et avoue :
— Moi aussi, je n’en reviens pas ! C’est comme si… comment dire ça… c’est comme si un verrou avait sauté ! Mais ça ne veut pas dire que j’aie envie de me faire sauter par n’importe qui !
M’approchant un peu, j’interviens :
— Parce que c’était vous deux et parce que c’était moi… nous le dirons comme ça…
— On dirait que tu n’es pas du genre à chercher le pourquoi du comment, Christian.
— Les anciens disaient « Carpe diem ». Ce que j’essaye de faire, je ne cherche plus à comprendre, je profite. Et croyez-moi, c’est ...