Candide candaulisme
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
couplus,
cocus,
intermast,
pénétratio,
couple+h,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... carrément, elle est très mignonne ainsi ! Pressentant le souci de la suite à venir, je prends les devants :
— Mais, si je comprends bien, Liliane a beaucoup de difficultés à passer à l’acte.
— Oui, beaucoup !
— C’est compréhensible…
Le mari ne répond rien, il semble soupirer intérieurement. Sa femme ne dit rien non plus, se contentant de baisser un peu plus la tête. C’est alors que je décide de prendre les choses en mains. Me tournant vers Thomas, je lui demande :
— Thomas, vous pouvez changer de place avec moi, afin que je sois à côté de votre femme ?
— OK, pas de problème…
Nous changeons de place. Je suis à présent juste à côté d’une Liliane un peu tremblante et toujours rougissante. C’est très mignon, j’adore ! Je me tourne vers elle, mon coude sur le rebord haut du canapé. Doucement, me penchant sur elle, je demande :
— Liliane, je peux vous poser une question ?
— D… dites toujours…
— Si je suis ici chez vous, c’est parce que je suis un peu à votre goût, je me trompe ?
— O-oui… un… un peu quand même, C-Christian…
Je pense même que je suis carrément à son goût, pour preuve les regards qu’elle m’a lancés tout à l’heure quand nous nous sommes réellement vus en face à face, puis quand nous étions face à face. D’ailleurs, c’est la webcam que nous avons faite, il y a quelques jours, qui m’a vraiment décidé. Là aussi, j’avais bien cru voir dans ses yeux verts une lueur d’intérêt pour ma personne.
— Et si vous êtes là, c’est de votre plein gré, sans ...
... être forcée…
— N-non, euh oui, enfin… m-mon mari ne m’a pas forcée à être là, c’est vrai…
Je pose ma main sur son genou dénudé, elle tressaille. Je sens le regard intéressé de son mari sur nous. Sans changer le ton de ma voix, je continue :
— L’homme propose, la femme dispose. Nous sommes bien d’accord, Liliane ? Si quelque chose ne vous convient pas, dites-le-moi tout de suite…
— O-oui… je vous le d-dirais…
Ayant son aval, je commence à caresser doucement son genou. Ça me donne une très bonne idée pour la suite, si suite il y a. Mais je pense que c’est largement jouable, la barrière est présente, mais contournable. Comme nous sommes en été, c’est sa peau toute douce que je sens sous ma paume et non un bas ou un collant. Elle reste stoïque. Je sens, d’instinct, que je suis sur le fil. Dois-je attendre un peu ou oser un peu plus ?
— N’ayez crainte, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire !
— O-oui… je-je sais…
— Vous avez la peau très douce…
— M-merci…
Ce ne sont en effet que des banalités, mais il faut un début à tout. Je continue à promener ma main sur son genou, puis petit à petit, j’avance sur sa cuisse, faisant des allers-retours sur sa jambe. Son stress est évident. Mes caresses deviennent de plus en plus intimes, sa respiration devient de plus en plus entrecoupée. Mais elle ne retire pas ma main qui s’aventure de plus en plus haut, elle ne prononce aucun « non »…
— Aimez-vous ce que je vous fais ?
— C-Ça va…
Pour l’instant, elle ne fait ...