1. Pour les pieds de Natacha


    Datte: 20/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... à la jointure des cuisses. Puis d’un petit mouvement de doigts, elle l'ouvrit. Je sentais un courant électrique me parcourir la colonne vertébrale. En dessous, Sabine était nue, à l’exception d’une guêpière de soie noire, prolongée de porte-jarretelles retenant des bas fumés. Le tout, contrastant de
    
    manière éblouissante avec sa toison parfaitement taillée en triangle, que ne cachait aucune culotte.
    
    Elle baissa les yeux sur mon érection et arrondirent les lèvres sur une exclamation muette. Elle écarta lentement les jambes. Je lâchais un soupir de satisfaction, alors qu’elle avait glissé une main entre ses cuisses. Dont le majeur bougeait rageusement dans son épaisse toison. Bouche entrouverte, elle respirait à petites goulées précipitées. Les yeux accrochés à ma main qui montait et descendait de plus en plus vite.
    
    Par pure provocation, elle plongea alors deux doigts en elle et les fit aller et venir. Sa paume claquait sur son pubis. Sa respiration sifflait entre ses dents. J’eus un halètement rauque et délivrais la jouissance en plusieurs longs rubans qui atterrirent loin devant moi. De son côté, elle poussa des cris stridents, tandis que son corps se tendait brusquement.
    
    Une fois ressaisie, elle s’approcha de la table. Souleva la cannette et la porta à sa bouche. Une trop grande rasade de liquide ambré sortit du goulot, trop pour qu'elle puisse tout ingurgiter. De la bière dégoulina jusqu’à ses seins avant de dévaler sur son ventre. Je me précipitais jusqu’à ...
    ... elle et me penchais au-dessus de sa poitrine et
    
    titillaient les mamelons, d’une langue dardée. Sabine renversa sa tête en arrière, gorge tendue, les yeux fermés.
    
    - Oui… Tète-les… goûte comme c’est bon.
    
    Je mordillais les pointes, léchais les contours des aréoles. Revins aux pointes. Alternativement, les suçant, les aspirants. Elles étaient si volumineuses qu’elles m’emplissaient complètement à bouche.
    
    Une fièvre montait dans son corps, brutale et affolante. Mes doigts glissèrent dans l’épaisse toison noire et furent comme aspirés dans le sillon humide. Agitant les reins, Sabine se mit à haleter, manquant de perdre l’équilibre. Elle fléchit les genoux, écartant les cuisses pour faciliter le passage à ma main qui séparait les replis de sa fente.
    
    - C’est bon… Alain… Attends, attends un peu.
    
    Elle me repoussa, versa le restant de sa cannette dans le creux de son nombril. J’y plongeais ma langue, bus l’intégralité du liquide.
    
    - Mieux encore, infiniment mieux, tu vas voir...
    
    Elle tendit le bras jusqu’entre ses cuisses ouvertes, renversa ma cannette. Le liquide s’infiltra parmi sa toison. S’immisçant dans l’intimité de son sexe.
    
    - Lèche- moi, Alain, suce-moi toute.
    
    Je m’installai entre ses jambes. J’enfouis mon visage, heureux d’être chatouillée par les innombrables poils frisés qui s’épanouissaient librement autour de la fleur carnivore et douce. Elle n’était plus qu’un râle interminable, son corps parcourut d’une vaste ondulation. Je plongeais mes lèvres ...