1. Pour les pieds de Natacha


    Datte: 20/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... préfères-tu une bière ?
    
    Un coup d’œil à la pendule accrochée sur le mur. Les aiguilles indiquaient 11H27.
    
    - Je ne dirais pas non à une petite bière bien fraîche, s’il te plaît.
    
    Elle prit dans le frigo deux cannettes, qu’elle décapsula, avant de les poser sur la table.
    
    - Tu préfères rester dans la cuisine, où nous allons dans le salon ?
    
    - Nous sommes très bien ici, répliquais-je.
    
    Elle ouvrit le buffer et y prit deux verres.
    
    - Comme tu veux. Fit-elle, un petit sourire en coin.
    
    Puis alors qu’elle les posait sur la table, d’une voix languissante, elle revint à la charge :
    
    - Tu as peut-être peur de revivre quelques souvenirs.
    
    - Tu veux en venir où, je ne te suis pas très bien là Sabine ?
    
    - Tu ne devines pas . Tu sais, Natacha m’a parlé de ton après-midi du dimanche.
    
    - Ah !
    
    Bien sûr, j’avais deviné. Comme ça la fille s’était confié à la mère, pensais-je. Nous nous regardâmes dans les yeux, lèvres entrouvertes. Ce fut elle qui prit l’initiative, en se saisissant à l’ouverture de sa robe sans manches, boutonnée sur le devant, mi-longue, moulante à souhait de couleur jaune. D’un geste qui semblait marginal, elle défit le dernier bouton tout en bas d’une longue série.
    
    - Tu ne dis plus rien . Fit-elle, le regard perdu dans le vague, alors qu’elle faisait sauter celui de qui suivait.
    
    - Je veux que je te dise quoi . Je devine qu’elle t’a tout dit, je me trompe .
    
    - Je reconnais qu’elle n’est plus une gamine. Il faut que je me rende à ...
    ... l’évidence. Mais reconnaît que cette fille à de la suite dans les idées. Faire une pipe à un homme à seulement quelques mètres du père, il faut être drôlement culottée, tu ne crois pas.
    
    Dans son œil brillait cependant la flamme du désir. Cependant trois autres boutons venaient d’être ouvert. La robe s’entrebâillait à présent à mi-cuisse, découvrant une jambe gainée dans un bas fumé.
    
    - Tu as trouvé qu’elle se débrouillait bien, non.
    
    - Oui, à un tel point que j’ai succombé sous sa caresse. Je pense qu’elle n'a pas manqué de te le dire.
    
    Je fixais maintenant l’attache d’un porte-jarretelles.
    
    - Oui bien sur. Confidence pour confidence, ça faisait longtemps que cela lui trotter dans la tête.
    
    - Ah oui… elle te l’avait dit…
    
    - Non ! Je l’ai lut sur son cahier intime.
    
    Je la fixais avec un désir d’une intensité effrayante. Un désir qui soulevait impérieusement, peu à peu, le tissu de mon pantalon.
    
    - Quand elle m’a avoué dimanche soir qu’elle t’avait sucé, je ne l’ai pas tout de suite cru. Mets-toi à ma place, c’était irréaliste. Et peu à peu, au cours de sa confidence, j’ai senti qu’elle ne me mentait pas. Ce n’était plus un fantasme, mais une réalité. Quand j’ai fermé la porte de sa chambre, j’étais tout émoustillé.
    
    Je profitais de l’instant pour faire glisser en bas la fermeture Éclair de mon pantalon. Je sortis mon sexe et me caressais en défiant du regard Sabine. Elle me regardait, d’un œil légèrement dilaté, tandis que ses doigts jouaient avec le bouton situé ...