1. Pour les pieds de Natacha


    Datte: 20/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... bien l’intention de me laisser faire. Surtout ne rien accélérer, même quand sa main s’attaqua à la fermeture Éclair de mon pantalon. Pas plus, quand fébrile, elle insistait à faire jaillir ma verge saisissante de vigueur.
    
    Posément, mais surement, je sentis frémir mon échine. Pas besoin d’être devin pour vite comprendre les intentions de la jeune fille. Lorsqu’on a la chance d’avoir sous la main une nature aussi bien disposée, on ne la laisse pas refroidir. Ses doigts me tâtèrent. Comme pour en évaluer la consistance avant de commencer à me caresser doucement. Quoique je bande dur, j’’étais tout de même un peu inquiet. Qu'arriverait-il si le père venait à se réveiller ?
    
    Mais les sensations étaient trop fortes pour que j’y mette un terme. Machinalement, elle porta ses doigts à ses narines. Les mêmes qui avaient enserré mon pénis triomphant. Puis elle approcha son visage à la hauteur de ma verge. J’étais tétanisé, et impatient à la fois. Encore plus, quand je sentis ses lèvres effleurait mon gland. Puis purement et simplement comblé, quand sa bouche m’enfourna. Diffusant à ma chair, sa chaleur.
    
    Sa langue me léchait, alors que ses lèvres grappillaient de ma personne, millimètres après millimètres. Je me laissais investir. Par une bouche chargé de douceur et de détermination à la fois. Je ne pus m’empêcher certaines ondulations intempestives du bassin.
    
    Pour mon plus grand désarroi, elle se retira. Enfantant un bruit de ventouse au moment où ma verge sortait d’entre ...
    ... ses lèvres. Le temps de reprendre sa respiration, et elle me reprit en bouche. Entamant une longue succion de haut en bas, et de bas en haut. Pressant ses lèvres sur chaque parcelle de ma queue. Avec en option, une langue victorieuse, inquisitrice, qui inlassablement aggraver mon délire, pourtant déjà très haute sur l'échelle de Richter. Elle s’avérait
    
    être une élève douée.
    
    Je sentis que bientôt, je ne pourrais plus contenir la vague de plaisir qui grondait de mon ventre, de mes reins, de ma hampe si bien cajolée. Elle le comprit et accéléra sa câlinerie. Je pressais sa tête sur mon sexe et lâchais la sauce, qu’elle ingérait au fur et à mesure de sa sortie.
    
    Après un toilettage en règne, avec l’aide de sa langue, elle se retira et reprit sa place initiale. Je me reboutonnais prestement, alors que de l’autre côté du divan, Natacha fermait ses yeux.
    
    Quelques jours plus tard j’eus la visite de sa mère, Sabine. Elle se tenait à la porte de mon bureau.
    
    - Bonjours Alain, je ne te dérange pas .
    
    - Non… non, vas-y rentrée.
    
    Les bises d’usages.
    
    - Qu’est-ce que me vaut ta visite ?
    
    - Je venais voir si tu pouvais me ramener chez moi. Je viens de déposer la voiture au garage et je suis à pied.
    
    - Oui… bien sûr. Je t’offre un café, avant.
    
    - Non merci. On le prendra chez moi, si tu le veux bien.
    
    Le temps de prendre les clés et je l’ai conduit jusqu’à son domicile.
    
    Une fois sur place, elle me proposa le fameux café.
    
    - C’est toujours d’accord pour le jus où ...
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