1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 20/01/2019, Catégories: ff, fépilée, Oral init, Auteur: Charlotte_D, Source: Revebebe

    ... rendra folle.
    
    Je ne comprenais pas encore, mais la position demandée me ferait avoir le visage juste en face de ses mains et de son sexe. Je m’exécutai donc assez rapidement.
    
    — En tout cas, je sais ce qui me rend folle, lui dis-je dans un souffle… Retire tes mains s’il te plaît, je veux te voir nue.
    — C’est aussi ce qui me rendra folle de toi… te voir nue.
    
    Je ne comprenais toujours pas. J’étais nue devant elle, et à genoux qui plus est. Elle retira le triangle fait de ses mains et je revis à nouveau son sexe, libre, à portée de mes lèvres, de mes baisers. Et soudain, le déclic !
    
    — Ohhh… le triangle. Tu veux que je retire le triangle pour que je sois nue aussi ? Tu veux que je m’épile le minou ?
    
    Pendant quelques instants je me suis sentie idiote, tant elle avait fait en sorte que je comprenne vite, ou que je voie ce dont elle voulait parler. Et j’étais tellement focalisée sur la beauté de son sexe lisse que je m’étonnai moi-même de ne pas y avoir pensé avant.
    
    — Je ne veux pas que tu t’épiles, je voudrais que tu sois VRAIMENT nue. En un sens, ça revient un peu au même, mais ce n’est pas juste pour faire "mode". C’est que lorsque tu retires les poils, surtout la première fois, toute ta peau reçoit les caresses en direct ; plus rien pour atténuer le contact. Les baisers se font à même la peau… et c’est délicieux ! Et puis il y a plus encore. Les parfums ne sont plus les mêmes, les odeurs sont… différentes. C’est plus intime, plus érotique, plus rien n’est ...
    ... caché. Et puis ça me permettra de me rincer l’œil comme tu le fais en me regardant… parce qu’à travers tes poils, je trouve – enfin, je pense – que toi aussi tu peu m’hypnotiser avec ton sexe… et j’en ai très envie. Qu’en dis-tu ?
    
    Je ne savais pas très bien comment réagir. Je n’avais jamais osé franchir le cap de l’épilation totale, parce que ça faisait "film porno". Jusqu’à présent, dégager les abords pour que mon petit triangle soit "propre" me suffisait, et suffisait à mes amants précédents. Il faut dire qu’eux se foutaient un peu de savoir ce qu’il y avait derrière les poils ; je pense qu’ils ne voulaient qu’être bien sûrs qu’il y ait de quoi mettre une bite. Leurs petits bisous sur mon sexe, c’était pas de l’amour, c’était pas du sexe : c’était pour que ça glisse mieux quand ils venaient en moi ; en tout cas, c’est la vision que j’en avais ce dimanche, maintenant qu’Isabelle m’avait montré un autre monde, une vraie tendresse, une tout autre douceur. Et finalement, me retrouver comme elle, avec un pubis délivré de sa toison protectrice, une vulve sans poils, lisse, ça me paraissait tentant, presque excitant.
    
    — J’en dis que… ça se tente, lui dis-je avec une hésitation très perceptible. Mais… ça va vite ; beaucoup de choses se sont passées. On se connaît depuis quoi… dix jours ; on s’est embrassées hier, on a fait l’amour, j’ai pété un câble, on a refait l’amour… Dès que je te regarde, je dégouline, j’ai envie de toi comme jamais je n’ai eu envie de personne : ça fait ...
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